Oui, vous avez été appelés à la liberté, frères, non pas à la liberté pour l'avantage de la chair, mais, par amour, asservissez-vous les uns aux autres.
Oui, toute la Torah est accomplie en une seule parole, dans le :
"Aime ton compagnon comme toi-même!"
Mais si vous vous mordez et dévorez les uns les autres, prenez garde d'être détruits les uns par les autres.
Oui, je le dis : Marchez dans le souffle, et vous n'accomplirez d'aucune manière le désir de la chair, oui, ils sont adversaires l'un de l'autre, en sorte que vous ne faites pas ce vous voudriez.
Mais si vous êtes conduits par le souffle, vous n'êtes pas sous la Torah.
Or, les œuvres de la chair sont manifestes : puterie, impureté, débauche, idolâtrie, sorcellerie, haines, discorde, jalousie, emportements, rivalités, divisions, factions, envies, beuveries, orgies, et ce qui leur est semblable.
Je vous le prédis comme je l'ai déjà prédit :
Ceux qui pratiquent cela n'hériteront pas du Royaume d'Elohim.
Mais le fruit du souffle est l'amour, le chérissement, la paix, la patience, l'obligeance, la bonté, l’adhérence, l'humilité, la maîtrise de soi; ce contre quoi la Torah n'est pas.
Galates 5:13-22
Paul s'adresse aux Galates , peuple des Gentils, ayant adhérés au Mashiah, Yahshoua.
Il est important de bien situer le contexte et à qui écrit Paul. La missive concerne exclusivement des goyim nés de nouveau , olivier sauvage, enseignés dans toute la Torah. Cette qehila grandit dans l'enseignement du Tanakh accompli par le Ben Elohim, Yahshoua.
Or il advient que leur comportement redevient conforme au paganisme antérieur , ils ont oublié l'essence même de leur délivrance, ils sont retournés à la boue de leurs péchés.
Pour que Paul s'oblige à préciser les manières de vivre relatives à tout disciple de l'Adon, c'est que la qehila développait des actions de vie indignes d'Elohim, faisant rougir le Fils !
A la lecture de ces lignes salvatrices, nous devons comprendre que nous avons nous aussi à sonder nos attitudes, nos motivations, tout ce qui se cache derrière ce que l'on fait, ou non..., ce que l'on dit, ou non...
La chair ne mourra qu'au retour du Fils de l'homme ! Jusque là nous avons à nous battre avec elle selon ce que dit explicitement Paul au verset 17 :
Le souffle et la chair sont "adversaires l'un de l'autre".
Pouvons-nous alors croire un seul instant qu'ayant reçu le souffle de Vie , le Ruah, nous n'ayons plus à combattre notre chair ? Quel orgueil de croire une telle chose !
Nous avons à mettre au poteau chaque jour notre chair, à veiller sur cette ennemie considérable parce que collée à nos os, enveloppe de notre souffle , elle est notre compagnon de route jusqu'à notre dernier souffle .
Si cela n'était pas, Paul n'aurait jamais sollicité les Galates à rectifier leurs conduites mauvaises !
Sournoisement, ils ont accompli les désirs de la chair .
"Marchez dans le souffle, et vous n'accomplirez d'aucune manière le désir de la chair"
Comment donc pourrions-nous avoir le Souffle et retomber dans une manière de désir de la chair ?
Celui qui ne veille pas, n'est certes pas digne d'être soldat. Un soldat est toujours opérationnel, en alerte, cherchant l'ennemi, ayant toujours une longueur d'avance. Quand il s'assied, quand il se satisfait de son quotidien, l'ennemi vient , éveille sa chair, le soldat non pris par surprise , tombe parce qu'il n'a pas obéi à l'ordre de VEILLER ET DE PRIER !
Ainsi Paul fait un listing d'opposition de ce qui vient du Souffle et de ce qui émane de la Chair.
En première instance nous avons le manifeste annonciateur d'une chair qui a repris l'avantage sur le souffle . Il devient intéressant de constater qu'en définitive Paul cite la dixième parole des dix Paroles, communément appelées les Dix Commandements.
Le dernier des dix précise "Tu ne convoiteras pas....Ni rien de ce qui est à ton prochain" Devarim (deutéronome) 5.
Il est question ici de la Jalousie...
La puterie, l'impureté, la débauche, l'idolâtrie, la sorcellereie, les haines, la discorde, la Jalousie; les emportements, les rivalités, les divisions, et les factions relèvent tous d'un fond commun : L'autre , celui qui nous agace, celui qui ne fait pas comme nous voulons, celui qui est avant nous, celui qui réussit mieux que nous, celui qui a plus que nous, celui qui sait mieux que nous, et ainsi de suite...
Paul nomme la Torah à deux reprises ici, et pour cause, il fait appelle au fondement des Ecrits, scellés par le Doigt d'Elohim, en personne, transmis à Moshé comme règles d'or incontournables.
C'est bien pour cela que Paul se permet , au verset 21, d'écrire noir sur blanc, une vérité terrible,
"Ceux qui pratiquent cela n'hériteront pas du royaume d'Elohim"
Mais qui est donc Paul pour décider de qui aura ou non son nom inscrit dans le livre de Vie ? Il est l'instrument choisi par le Souffle pour rappeler la Torah, ni plus ni moins.
A noter le mot "faction": le terme est fort, il signifie: faire division pour prendre le pouvoir !
D'aucuns diront : nul n'a le pouvoir sur l'autre. Certes, néanmoins dans le monde spirituel, il est des dons et des talents donnés par le Ruah a qui il veut, au moment où il veut. De même, aux Corinthiens, Paul rappelle que l'ordre doit être de mise au sein des qehila, la soumission aux uns et aux autres est une conformité voulue par Elohim !
Ainsi ceux qui mènent faction, sont ceux qui ne supportent guère l'unité du groupe sans qu'ils en soient les meneurs, le centre, la créature supplantant le créateur. L'histoire des Fils de Koré nous est relatée comme un avertissement à ne pas suivre leur exemple...
Justifiée est donc la mise en garde de Paul concernant l'héritage du royaume à venir....
En opposition donc au listing de la chair, Paul mentionne les effets positifs du disciple mené par le Souffle. Dans son énumération le mot obligeance trouve naturellement sa place. Celui qui respecte la dixième parole devient de fait l'obligé de son prochain . Du diviseur, du jaloux, il devient celui qui participe à la réunification du Corps du Mashiah, il meurt à lui-même, se faisant non pas leader mais serviteur volontairement esclave du Ben Elohim.
La frontière est subtile ! Normale, l'ange de Lumière, est d'une subtilité à toute épreuve, et notre chair lui est asservie faisant de nous un champ de bataille continuel .
Est-ce à dire que la mission est impossible ? Ce serait oublier les derniers mots du Mashiah sur le fameux poteau de notre délivrance "J'ai tout accompli".
Sachons donc, sur le Chemin étroit , prendre notre poteau avec nous, afin de sur-veiller constamment si notre chair y est toujours bien clouée, de sorte qu'au jour final nous puissions obtenir la Couronne de Vie, espérance de notre marche sur cette terre.
samedi 16 décembre 2017
mercredi 22 novembre 2017
"YHWH COMBATTRA POUR VOUS ; ET VOUS, TENEZ VOUS TRANQUILLES ! "
Moshé répondit au peuple :" Soyez sans crainte ! Attendez, et vous serez témoins de l'assistance que YHWH vous procurera en ce jour ! Certes, si vous avez vu les Egyptiens aujourd'hui vous ne les reverrez plus jamais.
YHWH combattra pour vous; et vous, tenez vous tranquilles !" Shemot (Exode) 14:14
Nous voici au cœur de l’événement le plus important du deuxième livre de la Torah. C'est ici que se joue prophétiquement la délivrance , Yahshoua, du peuple hébreu. Délivrance au lieu dit Baal-Cefon, lieu maudit, vénéré par les Egyptiens, un baal, un maître représentant la divinité suprême du deuxième ciel....
C'est précisement à cet endroit là que YHWH, nommé par son nom de Chef des Armées et non Adonaï ni Elohim, que le Créateur de l'Univers , de toutes choses, va se confronter en première instance au Malin , incarné par Pharaon, mi-dieu mi-homme.
Pour ce faire, YHWH utilisera son homme de main..., Moshé, préfigure du Mashiah à venir, purifié des eaux du Nil, tout comme Yahshoua en son temps sera purifié par les eaux du Jourdain.
Moshé , cependant doit faire face à une grande foule...une multitude , tout comme lors du régime de l'impie à venir, la grande foule devra faire un choix cruciale : Retourner vers l'esclavage de Baal-Cefon ou accepter de mourir en suivant le Mashiah. Ultime épisode qui se rapproche de notre temps actuel.
Moshé n'est guère un sur-homme, il suffit de lire son histoire pour se rendre compte que son impulsivité , à l'image d'un certain Pierre , disciple de Yahshoua, va l'amener à fuir dans le désert, lieu où lui apparaîtra Elohim dans un buisson de feu, buisson se situant dans la zone de travail de Moshé.
La similitude d'avec Pierre est saisissante, c'est sur son lieu de travail , isolé , que Pierre recevra la "visite" de Yahshoua, celui qui délivre, pour lui demander de "paître" son peuple....
Moshé doit se battre déjà pour lui-même. Pharaon, et sa cohorte, est à ses trousses...Révélation nous prédit que l'impie sous les traits du dragon, poursuivra l'épouse fidèle jusque dans le désert...
Rien de nouveau sous le soleil ! Ce qui a été sera, et nous revivrons les mêmes événements que Moshé tournant le dos aux troupes de l'ennemi pour lever son bâton de la foi, attendant l'ultime délivrance.
Cependant , dans ses oreilles, tombent les complaintes d'une multitude, pour ne pas dire de 600 000 âmes, lui reprochant un supposé échec, et une mort, aux yeux humains, certaine.
Moshé , rempli du Ruah, couvre la multitude avec force et autorité. C'est que Moshé ne s'en laisse plus conter ! Avec audace et fermeté il les rappelle à l'ordre :
Attendez !
La débandade a sans doute commencé, Moshé hurle "attendez" ! Mieux, il les rassure
"Soyez sans crainte"...
Soit Moshé est un futuriste du genre sans crainte et sans reproche, soit Moshé connaît son Elohim...Il a sans conteste la peur qui s'attache aussi à ses pensées, sauf que Moshé est un exemple ! Il doit combattre sa propre crainte et calmer celle des autres ! L'on ne peut que constater que, parmi les 600 000 hommes, personne ne s'est soucié si Moshé avait peur...
De nos jours il est effarant de constater le nombre de gens candidats à la "consommation spirituelle" et si peu, voire si rare, au poste de Moshé, celui qui se soucie des autres sans penser à lui-même...
L'exemple de Moshé n'a pas pour but d'élever un homme au-dessus des autres, mais bien de nous faire comprendre que nous sommes tous confrontés au même choix qui s'est présenté à Moshé : soit nous faisons partie de la grande foule qui tente de s'enfuir au premier combat, et voudrait retourner direct vers ce qu'elle a vomi, soit nous faisons partie du reste qui sait affronter les dangers et mener les combats, quoiqu'il en coûte.
Néanmoins force est de constater que Moshé ne travaille pas pour sa propre crémière, il ne pense pas à sauver sa peau , mais celles des autres. Le don de soi pour faire vivre ses biens-aimés. Amour ultime , preuve actée que sa rencontre au buisson Ardent , feu qui dévore les scories et fait du repentant un véritable disciple.
Avant de partir au combat, Moshé prend le temps de consoler , de restaurer, de rassurer le peuple ingrat et sans volonté aucune. Il rassemble les troupes, calme les craintes, et rappelle une nième fois que YHWH combattra pour eux !
Il est intéressant de relever une mauvaise traduction dans les méandres existants , à savoir que le mot "silence" a remplacé le fondamental " tranquilles" ! Moshé fait plus que de leur intimer l'ordre de se taire, il les rappelle à la raison, calme leur agitation, et fait revenir ceux qui rebroussent chemin.
N'avons-nous pas cette propension à trouver rapidement une parade quand l'angoisse nous saisit, quand les vents sont contraires ? Ne faisons-nous pas acte de rébellion quand nous battons en retraite, quand nous capitulons ?
L'histoire de Jonas en est l'exemple le plus significatif....
La parade de Moshé fait mouche, il place YHWH au centre de son discours : YHWH combattra pour vous.
Il ne doute de rien notre homme ! En effet comment croire que Cébaot le chef des Armées, va accepter de se lever pour un peuple qui ne fait que gémir, se plaindre et qui plus est, préfère l'esclavage à la liberté ?
Moshé a eu la révélation du plan entier, millénaire, d'Elohim pour l'humanité. Il sait que ce n'est pas seulement la vie de 600 000 âmes qui est en jeu, mais le Royaume à venir avec la réconciliation de YHWH et de toute l'humanité, pour ceux et celles qui veulent bien être affranchis et du péché et de l'esclavage à pérennité.
Moshé ne s'adresse pas uniquement à la grande foule de son temps, il s'adresse à toute l'humanité de la part d'Elohim:
Tenez vous tranquilles ! Attendez... Soyez sans crainte...Je vais combattre pour vous !
Face à Baal-Céfon l'enjeu est énorme : Est-ce que les hommes vont accepter la main tendue de YHWH ou est-ce qu'ils vont choisir comme Maître celui qui viendra en son temps, après Juda, investir l'impie pour mener l'ultime guerre Sainte contre Yahshoua HaMashiah ?
Qui a compris qu'ici la confrontation des mondes spirituels n'est qu'une bataille avant la guerre finale ?
Qui a saisi que l'histoire de Moshé nous implique toutes et tous personnellement dans les choix de nos vies chaque jour ?
Qui a fait retour définitivement pour pouvoir dire à son tour aux autres "soyez sans crainte, attendez, YHWH combattra pour vous, tenez vous tranquilles" ?
Qui par sa vie au quotidien, a quitté l'impulsivité pour démontrer par ses actes qu'il, elle, sait rester tranquille, en attendant que YHWH combatte pour lui, pour elle ?
C'est bien le message laissé par Shemot- il appela- au chapitre 14 verset 14 ! Un rappel de la Torah complète puisque 14 = 1+4 =5..tout comme le verset 14 . Le chiffre 5 étant la référence aux 5 livres de la Parole faite Chair, la Torah ! Tout est dit, tout sera accompli...
Il appela la Torah, Parole Faite Chair, complètement dans la vie de toutes et tous, leur disant que jusqu'au bout Il sera avec nous jusqu'à la fin, combattant pour nous, pour peu que nous soyons sans crainte, ne doutant jamais, restant tranquille , loin des agitations et de la tentation de chercher secours dans ce monde.
YHWH combattra pour vous; et vous, tenez vous tranquilles !" Shemot (Exode) 14:14
Nous voici au cœur de l’événement le plus important du deuxième livre de la Torah. C'est ici que se joue prophétiquement la délivrance , Yahshoua, du peuple hébreu. Délivrance au lieu dit Baal-Cefon, lieu maudit, vénéré par les Egyptiens, un baal, un maître représentant la divinité suprême du deuxième ciel....
C'est précisement à cet endroit là que YHWH, nommé par son nom de Chef des Armées et non Adonaï ni Elohim, que le Créateur de l'Univers , de toutes choses, va se confronter en première instance au Malin , incarné par Pharaon, mi-dieu mi-homme.
Pour ce faire, YHWH utilisera son homme de main..., Moshé, préfigure du Mashiah à venir, purifié des eaux du Nil, tout comme Yahshoua en son temps sera purifié par les eaux du Jourdain.
Moshé , cependant doit faire face à une grande foule...une multitude , tout comme lors du régime de l'impie à venir, la grande foule devra faire un choix cruciale : Retourner vers l'esclavage de Baal-Cefon ou accepter de mourir en suivant le Mashiah. Ultime épisode qui se rapproche de notre temps actuel.
Moshé n'est guère un sur-homme, il suffit de lire son histoire pour se rendre compte que son impulsivité , à l'image d'un certain Pierre , disciple de Yahshoua, va l'amener à fuir dans le désert, lieu où lui apparaîtra Elohim dans un buisson de feu, buisson se situant dans la zone de travail de Moshé.
La similitude d'avec Pierre est saisissante, c'est sur son lieu de travail , isolé , que Pierre recevra la "visite" de Yahshoua, celui qui délivre, pour lui demander de "paître" son peuple....
Moshé doit se battre déjà pour lui-même. Pharaon, et sa cohorte, est à ses trousses...Révélation nous prédit que l'impie sous les traits du dragon, poursuivra l'épouse fidèle jusque dans le désert...
Rien de nouveau sous le soleil ! Ce qui a été sera, et nous revivrons les mêmes événements que Moshé tournant le dos aux troupes de l'ennemi pour lever son bâton de la foi, attendant l'ultime délivrance.
Cependant , dans ses oreilles, tombent les complaintes d'une multitude, pour ne pas dire de 600 000 âmes, lui reprochant un supposé échec, et une mort, aux yeux humains, certaine.
Moshé , rempli du Ruah, couvre la multitude avec force et autorité. C'est que Moshé ne s'en laisse plus conter ! Avec audace et fermeté il les rappelle à l'ordre :
Attendez !
La débandade a sans doute commencé, Moshé hurle "attendez" ! Mieux, il les rassure
"Soyez sans crainte"...
Soit Moshé est un futuriste du genre sans crainte et sans reproche, soit Moshé connaît son Elohim...Il a sans conteste la peur qui s'attache aussi à ses pensées, sauf que Moshé est un exemple ! Il doit combattre sa propre crainte et calmer celle des autres ! L'on ne peut que constater que, parmi les 600 000 hommes, personne ne s'est soucié si Moshé avait peur...
De nos jours il est effarant de constater le nombre de gens candidats à la "consommation spirituelle" et si peu, voire si rare, au poste de Moshé, celui qui se soucie des autres sans penser à lui-même...
L'exemple de Moshé n'a pas pour but d'élever un homme au-dessus des autres, mais bien de nous faire comprendre que nous sommes tous confrontés au même choix qui s'est présenté à Moshé : soit nous faisons partie de la grande foule qui tente de s'enfuir au premier combat, et voudrait retourner direct vers ce qu'elle a vomi, soit nous faisons partie du reste qui sait affronter les dangers et mener les combats, quoiqu'il en coûte.
Néanmoins force est de constater que Moshé ne travaille pas pour sa propre crémière, il ne pense pas à sauver sa peau , mais celles des autres. Le don de soi pour faire vivre ses biens-aimés. Amour ultime , preuve actée que sa rencontre au buisson Ardent , feu qui dévore les scories et fait du repentant un véritable disciple.
Avant de partir au combat, Moshé prend le temps de consoler , de restaurer, de rassurer le peuple ingrat et sans volonté aucune. Il rassemble les troupes, calme les craintes, et rappelle une nième fois que YHWH combattra pour eux !
Il est intéressant de relever une mauvaise traduction dans les méandres existants , à savoir que le mot "silence" a remplacé le fondamental " tranquilles" ! Moshé fait plus que de leur intimer l'ordre de se taire, il les rappelle à la raison, calme leur agitation, et fait revenir ceux qui rebroussent chemin.
N'avons-nous pas cette propension à trouver rapidement une parade quand l'angoisse nous saisit, quand les vents sont contraires ? Ne faisons-nous pas acte de rébellion quand nous battons en retraite, quand nous capitulons ?
L'histoire de Jonas en est l'exemple le plus significatif....
La parade de Moshé fait mouche, il place YHWH au centre de son discours : YHWH combattra pour vous.
Il ne doute de rien notre homme ! En effet comment croire que Cébaot le chef des Armées, va accepter de se lever pour un peuple qui ne fait que gémir, se plaindre et qui plus est, préfère l'esclavage à la liberté ?
Moshé a eu la révélation du plan entier, millénaire, d'Elohim pour l'humanité. Il sait que ce n'est pas seulement la vie de 600 000 âmes qui est en jeu, mais le Royaume à venir avec la réconciliation de YHWH et de toute l'humanité, pour ceux et celles qui veulent bien être affranchis et du péché et de l'esclavage à pérennité.
Moshé ne s'adresse pas uniquement à la grande foule de son temps, il s'adresse à toute l'humanité de la part d'Elohim:
Tenez vous tranquilles ! Attendez... Soyez sans crainte...Je vais combattre pour vous !
Face à Baal-Céfon l'enjeu est énorme : Est-ce que les hommes vont accepter la main tendue de YHWH ou est-ce qu'ils vont choisir comme Maître celui qui viendra en son temps, après Juda, investir l'impie pour mener l'ultime guerre Sainte contre Yahshoua HaMashiah ?
Qui a compris qu'ici la confrontation des mondes spirituels n'est qu'une bataille avant la guerre finale ?
Qui a saisi que l'histoire de Moshé nous implique toutes et tous personnellement dans les choix de nos vies chaque jour ?
Qui a fait retour définitivement pour pouvoir dire à son tour aux autres "soyez sans crainte, attendez, YHWH combattra pour vous, tenez vous tranquilles" ?
Qui par sa vie au quotidien, a quitté l'impulsivité pour démontrer par ses actes qu'il, elle, sait rester tranquille, en attendant que YHWH combatte pour lui, pour elle ?
C'est bien le message laissé par Shemot- il appela- au chapitre 14 verset 14 ! Un rappel de la Torah complète puisque 14 = 1+4 =5..tout comme le verset 14 . Le chiffre 5 étant la référence aux 5 livres de la Parole faite Chair, la Torah ! Tout est dit, tout sera accompli...
Il appela la Torah, Parole Faite Chair, complètement dans la vie de toutes et tous, leur disant que jusqu'au bout Il sera avec nous jusqu'à la fin, combattant pour nous, pour peu que nous soyons sans crainte, ne doutant jamais, restant tranquille , loin des agitations et de la tentation de chercher secours dans ce monde.
jeudi 16 novembre 2017
"ALORS VOUS VOUS SOUVIENDREZ..."
Alors, vous vous souviendrez de vos voies perverses et de vos œuvres peu louables, et vous aurez le dégoût de vous-mêmes, à cause de vos péchés et de vos abominations. Ezechiel 36:31
Pour parfaire la compréhension de ce verset il s'agit ici de prendre la lecture du texte dès le verset 22 et ce, jusqu'à la fin du chapitre.
Le lecteur avisé comprendra de suite qu'il est fait mention du temps du Millénium puisque le prophète parle du grand rassemblement d'une part et d'autre part des villes dévastées et reconstruites, même plus, repeuplées.
Or la question sous-jacente vise à résoudre une équation quelque peu étrange :
Comment le disciple en Yahshoua pourrait-il vivre son adhérence en toute justice s'il lui faut attendre le millénium pour voir acter le changement de son cœur de pierre en un cœur de chair ?
La Parole éclairant toujours la Parole, la seconde lecture par le Ruah nous rappelle les propos tenus par Paul aux Corinthiens quand il affirme :
"Vous êtes manifestement une lettre du Mashiah procurée par nous non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, les cœurs." 2 Corinthiens 3:3
L'élément central manquant nous oblige à revenir aux Tables de la Torah, écrite par le Doigt d'Elohim en personne, rappelées par David quand il chante :
Les justes posséderont la terre, et ils y habiteront pour toujours. La bouche du Juste profère la sagesse, et sa langue énonce le droit.
La Torah de son Eloha est dans son cœur, ses pas ne chancellent point. Tehilim 37/31
Elohim grave dans un cœur de Chair les Tables de sa Torah, pour peu que nous prenions en dégoût nos vies de péchés. Cela se nomme la Repentance, Faire Retour.
Ceux qui seront trouvés "endormis" en Yahshoua, la première mort, ressusciteront en premier suivis par les "échappés" du régime de la Terrer mené par l'impie. En un clin d’œil les corps seront changés, glorifiés à la Gloire d'Adonaï, partant à la rencontre dans les airs du Mashiah, Mashiah qui va poser ses deux pieds sur le Mont Sion.
S'en suivra un magistral séisme mondial, un bouleversement inédit, provoquant la ruine et le désastre des villes et des édifices, rien ne résistera, tout sera à reconstruire.
Dans ce chaos surgiront des "survivants", les fameuses nations qui devront monter, par délégation, à chaque Fête de Souccoth, et à chaque début de mois, pour adorer le seul NOM qui soit, à savoir Elohim et chercher les fruits aux vertus médicinales pour guérir des fautes mensuelles.
Ezechiel avertit que ce qui a été sera, ce que le juste doit vivre en Yahshoua, la repentance, la conviction de péché dans les larmes, sera de mise au jour de la reconstruction millénaire pour ceux qui feront la transition entre le monde d'Avant et le monde d'Après. rien de nouveau sous le soleil tant que cette terre sera de cet univers....
Nul ne pourra bénéficier d'un rassemblement vers la Terre d'Israël si son cœur n'a pas été brisé par la conviction de péché. Une étape que peu vivent, et que beaucoup occultent en passant allègrement d'une ignorance de la Parole à une vie sous l'effigie du Maître.
En sommes ils sont entrés par la fenêtre et ne connaissent pas la Porte étroite, ils sont à côté du Chemin Etroit.
Mon oreille avait entendu parler de toi....
Certes, mais l’œil n'a toujours pas vu la Grâce qui fait que l'on se retrouve dégoûté de son péché au point de ne pouvoir se relever. Il faudra la Main du Père par le Sang du Fils pour changer le cœur de pierre, cette table vile, en un cœur de chair traduit en hébreu par le même mot que "viande" : Bassar !
La viande qui sert de sacrifice, d'holocauste se retrouve de fait être le nouveau cœur que le justifié en Yahshoua a et doit posséder. Son cœur ne pourra être sanctifié ni reconnu par Elohim que si le préalable d'un sacrifice volontaire, à l'image d'Abraham pour son fils, est acté.
L'intellectualisme, voire le mimétisme, amène bon nombre de gens à se croire sauvés alors qu'ils sont toujours en périphérie du Royaume à venir. La délivrance ne s'invente pas, elle se vit réellement passant obligatoirement par le tour du Potier. Le brisement.
Paul fait état de l'amour, fruit qui résulte de la transformation par la repentance, il prend le temps de le décrire en 1 Corinthiens 13 mais là encore nul ne peut agir sans avoir au préalable abandonné son cœur de pierre, l'avoir déposé sur l'Autel du Sacrifice.
Croire que l'on a un cœur de chair, sacrifié au Père, sans porter les fruits de l'Amour acté vers les autres est un leurre, un voile sur les yeux, une tromperie qui trouve sa source chez Mamon.
Le temps du Maintenant résonne encore plus fort, chaque jour qui passe, comme le shofar céleste, appelant à l'humilité, forçant les portes blindées des entrailles des hommes, voulant que le méchant reconnaisse son état désastreux, afin de lui délivrer un cœur de chair, digne de tout sacrifice.
Vient le temps où la circoncision de cœur sera vérifiée par l'Avocat Yahshoua devant la Cour Suprême. Le verdict tombera sans appel possible, alors nous serons connus comme nous le sommes réellement c'est-à-dire croyant être justifiés mais pour beaucoup juste bons à être jetés au feu comme la paille d'un été éphémère.
Alors nous nous souviendrons de nos voies perverses...et de nos œuvres peu louables....
Rien ne sert de les cacher maintenant, elles sont collées à notre cœur pierreux pour peu que nous n'ayons pas encore vécu la repentance, celle qui fait que l'on est terrassé par qui nous sommes réellement.
Si nous n'avons jamais vécu le "dégoût de nous-mêmes" il est certain que nous avons toujours un cœur de pierre, inapte à aimer, incapable de la moindre compassion.
Ceci expliquant cela....
Rachetons le temps, il est mauvais; vient le Temps du "Maintenant" et du "Trop tard".
Pour parfaire la compréhension de ce verset il s'agit ici de prendre la lecture du texte dès le verset 22 et ce, jusqu'à la fin du chapitre.
Le lecteur avisé comprendra de suite qu'il est fait mention du temps du Millénium puisque le prophète parle du grand rassemblement d'une part et d'autre part des villes dévastées et reconstruites, même plus, repeuplées.
Or la question sous-jacente vise à résoudre une équation quelque peu étrange :
Comment le disciple en Yahshoua pourrait-il vivre son adhérence en toute justice s'il lui faut attendre le millénium pour voir acter le changement de son cœur de pierre en un cœur de chair ?
La Parole éclairant toujours la Parole, la seconde lecture par le Ruah nous rappelle les propos tenus par Paul aux Corinthiens quand il affirme :
"Vous êtes manifestement une lettre du Mashiah procurée par nous non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, les cœurs." 2 Corinthiens 3:3
L'élément central manquant nous oblige à revenir aux Tables de la Torah, écrite par le Doigt d'Elohim en personne, rappelées par David quand il chante :
Les justes posséderont la terre, et ils y habiteront pour toujours. La bouche du Juste profère la sagesse, et sa langue énonce le droit.
La Torah de son Eloha est dans son cœur, ses pas ne chancellent point. Tehilim 37/31
Elohim grave dans un cœur de Chair les Tables de sa Torah, pour peu que nous prenions en dégoût nos vies de péchés. Cela se nomme la Repentance, Faire Retour.
Ceux qui seront trouvés "endormis" en Yahshoua, la première mort, ressusciteront en premier suivis par les "échappés" du régime de la Terrer mené par l'impie. En un clin d’œil les corps seront changés, glorifiés à la Gloire d'Adonaï, partant à la rencontre dans les airs du Mashiah, Mashiah qui va poser ses deux pieds sur le Mont Sion.
S'en suivra un magistral séisme mondial, un bouleversement inédit, provoquant la ruine et le désastre des villes et des édifices, rien ne résistera, tout sera à reconstruire.
Dans ce chaos surgiront des "survivants", les fameuses nations qui devront monter, par délégation, à chaque Fête de Souccoth, et à chaque début de mois, pour adorer le seul NOM qui soit, à savoir Elohim et chercher les fruits aux vertus médicinales pour guérir des fautes mensuelles.
Ezechiel avertit que ce qui a été sera, ce que le juste doit vivre en Yahshoua, la repentance, la conviction de péché dans les larmes, sera de mise au jour de la reconstruction millénaire pour ceux qui feront la transition entre le monde d'Avant et le monde d'Après. rien de nouveau sous le soleil tant que cette terre sera de cet univers....
Nul ne pourra bénéficier d'un rassemblement vers la Terre d'Israël si son cœur n'a pas été brisé par la conviction de péché. Une étape que peu vivent, et que beaucoup occultent en passant allègrement d'une ignorance de la Parole à une vie sous l'effigie du Maître.
En sommes ils sont entrés par la fenêtre et ne connaissent pas la Porte étroite, ils sont à côté du Chemin Etroit.
Mon oreille avait entendu parler de toi....
Certes, mais l’œil n'a toujours pas vu la Grâce qui fait que l'on se retrouve dégoûté de son péché au point de ne pouvoir se relever. Il faudra la Main du Père par le Sang du Fils pour changer le cœur de pierre, cette table vile, en un cœur de chair traduit en hébreu par le même mot que "viande" : Bassar !
La viande qui sert de sacrifice, d'holocauste se retrouve de fait être le nouveau cœur que le justifié en Yahshoua a et doit posséder. Son cœur ne pourra être sanctifié ni reconnu par Elohim que si le préalable d'un sacrifice volontaire, à l'image d'Abraham pour son fils, est acté.
L'intellectualisme, voire le mimétisme, amène bon nombre de gens à se croire sauvés alors qu'ils sont toujours en périphérie du Royaume à venir. La délivrance ne s'invente pas, elle se vit réellement passant obligatoirement par le tour du Potier. Le brisement.
Paul fait état de l'amour, fruit qui résulte de la transformation par la repentance, il prend le temps de le décrire en 1 Corinthiens 13 mais là encore nul ne peut agir sans avoir au préalable abandonné son cœur de pierre, l'avoir déposé sur l'Autel du Sacrifice.
Croire que l'on a un cœur de chair, sacrifié au Père, sans porter les fruits de l'Amour acté vers les autres est un leurre, un voile sur les yeux, une tromperie qui trouve sa source chez Mamon.
Le temps du Maintenant résonne encore plus fort, chaque jour qui passe, comme le shofar céleste, appelant à l'humilité, forçant les portes blindées des entrailles des hommes, voulant que le méchant reconnaisse son état désastreux, afin de lui délivrer un cœur de chair, digne de tout sacrifice.
Vient le temps où la circoncision de cœur sera vérifiée par l'Avocat Yahshoua devant la Cour Suprême. Le verdict tombera sans appel possible, alors nous serons connus comme nous le sommes réellement c'est-à-dire croyant être justifiés mais pour beaucoup juste bons à être jetés au feu comme la paille d'un été éphémère.
Alors nous nous souviendrons de nos voies perverses...et de nos œuvres peu louables....
Rien ne sert de les cacher maintenant, elles sont collées à notre cœur pierreux pour peu que nous n'ayons pas encore vécu la repentance, celle qui fait que l'on est terrassé par qui nous sommes réellement.
Si nous n'avons jamais vécu le "dégoût de nous-mêmes" il est certain que nous avons toujours un cœur de pierre, inapte à aimer, incapable de la moindre compassion.
Ceci expliquant cela....
Rachetons le temps, il est mauvais; vient le Temps du "Maintenant" et du "Trop tard".
jeudi 9 novembre 2017
" ADOREZ ADONAI AVEC CRAINTE ET REJOUISSEZ VOUS AVEC TREMBLEMENT"
Pourquoi se démènent les peuples, et les nations agitent-elles de vains projets?
Les rois de la terre se soulèvent, les princes se liguent ensemble contre l’Adonaï et son oint.
"Brisons [disent-ils] leurs liens. Rejetons loin de nous leurs chaînes!"
Celui qui réside dans les cieux en rit, le Seigneur se raille d’eux.
Puis il les apostrophe dans sa colère et, dans son courroux, il les terrifie:
"C’est moi [dit-il] qui ai consacré mon roi sur Sion, ma montagne sainte!"
Je veux proclamer ce qui est une loi immuable: "L’Adonaï m’a dit: Tu es mon fils, c’est moi qui, aujourd’hui, t’ai engendré!
Demande-le-moi, et je te donnerai des peuples comme héritage, les confins de la terre pour domaine.
Tu les briseras avec un sceptre de fer, tu les broieras comme un vase de potier."
Et maintenant, ô rois, sachez comprendre, tenez-vous pour avertis, juges de la terre!
Adorez l’Adonaï avec crainte, et réjouissez-vous [en Elohim] avec tremblement.
Rendez hommage au fils, de peur qu’il ne s’indigne, et que vous n’alliez a votre perte; car bien vite sa colère prend feu: heureux tous ceux qui s’abritent en lui!
Tehilim 2
David prophétise plus qu'il n'écrit, poussé par le Ruah.
L'ensemble des Tehilim est une allégorie de toute l'œuvre de la Création depuis l'avant de la mise en forme de notre planète jusqu'à la rédemption finale du Fils Ben Elohim, Yahshoua HaMashiah.
Après le Tehilim 1, qui se veut être une introduction au 150 messages prophétiques, introduction destinée aux enfants et aux soldats d'Adonaï Cebaot , le chef des armées, la couleur est donnée d'emblée par le chapître 2 : Tout repose sur la reconnaissance du Fils.
David annonce l'existence du Fils...il va plus loin, sous l'inspiration du Souffle, il fait le comparatif du sort des rois, issus des hommes et du Roi sacré, celui a qui l'hommage doit être rendu.
Lui le Mélek (roi) désigné par Elohim, s'inscrit dans une humilité voulue et reconnue , il place avant lui le Fils, le seul Mélek digne de reconnaissance. Sublime témoignage pour les temps modernes où se gaussent sur estrade et autre piédestal des "conducteurs" tant politiques que religieux de tous bords, s'évertuant à chercher une renommée étiquetée à qui mieux mieux, par des dénominations à banderoles gravées dans le sable (pierre et béton)....La tempête soufflera sur tous les édifices faits de mains d'homme; aucun ne résistera, la prophétie du Mashiah s'accomplira en temps et en heure.
La rhétorique de David pousse à la méditation. Le titre de roi n'est pas l'apanage d'un titre honorifique , politique ou gouvernementale. Il revêt la position de tout un chacun dès lors que l'être humain , là où sa posture se révèle plus imposante que la norme, joue à l'artiste en haut de l'affiche.
La Parole parle de l'enfant Roi....De même elle prévient des temps de la fin où la jeunesse sera arrogante, irrespectueuse, n'honorant guère ses parents et encore moins ses congénères.
Dès le Tehilim 2, le Ruah avertit de l'importance de ne pas se placer en haut de l'affiche et encore moins, en tant que parents, responsable, adulte à quelque niveau que ce soit, de laisser son prochain prendre la place du seul Roi qui soit digne d'hommage, Yahshoua.
Laisser l'enfant dans un délire de confrontation avec l'adulte le met indéniablement dans une posture de Roi. Il sera brisé par "un sceptre de fer, broyé comme un vase de potier".
Laisser nos bien-aimés , adultes ou non, s'assoire sur un trône royal contribue à bien des épreuves dans le futur, épreuves qui auraient et qui pourraient être largement évitées.
Des le second verset, il est question du Oint de l'Adonaï. La planète, sous l'effigie du prince des Ténèbres, complote contre la Seule Royauté qui soit, mettant l'homme à la place du Calife, le faisant "Elohim" à la place d'Elohim.
La seul loi Immuable qui excelle en matière de Vérité, repose sur l'engendrement du Fils par Elohim. Il a été placé au-dessus de ses compagnons nous révèle ailleurs la Parole. Vouloir un roi dans sa famille, au sein de ses enfants, vouloir un roi dans sa communauté au sein de la qehila, revient à renier le Fils engendré, celui à qui toute la terre doit rendre hommage.
Et maintenant....
Cela sonne comme un ultimatum, pour chacun d'entre nous. Le temps est lié au Maintenant. Point demain ni dans un futur lointain. Cet avertissement se retrouve dans 2 Corinthiens 6:2
"c'est Aujourd'hui le temps du Salut" salut qui signifie Délivrance....
La délivrance mot plus ajusté et plus vrai que salut, puisque Yahshoua signifie YHWH sauve, délivre, la délivrance donc ne peut conduire à la réjouissance que si elle nous dépouille auparavant de toute tendance, volonté, soit à régner, soit à se laisser diriger par un autre mélek que le seul Mélek légitime, Le Mashiah.
La venue de l'impie séparera le grain de l'ivraie. Elle révèlera ceux qui ont la propension à régner, comme ceux qui ont fait le choix de docteurs dispensant des choses agréables à leurs oreilles, de ceux qui seront identifiés comme brebis isolées, tondues et malades , et qui ont pris le parti d'être errantes en attendant le seul Berger digne de leur hommage.
Tout un programme ...
Ainsi l'ordre de David dans ce Tehilim de "d'Adorer avec crainte et de se réjouir avec tremblement" prend tout son sens.
L'appel à l'adoration doit se faire avec circonspection, sérieux . Il est besoin de procéder avec élimination. Quel Roi adorons nous ? Dans quel assemblée, communauté suis-je ? autant d'éléments à sonder avant de se lancer dans l'adoration pour peu que parmi les participants se cachent de faux rois voire des moutons de panurge vivant par procuration, adorant la créature plutôt que le Créateur.
L'impie rassemblera un ramassis de moutons , adorant la création, choisissant eux même leur propre roi, l'histoire se répètera une nième fois puis viendra la fin.
Adorer avec crainte appelle le disciple à " sortir du milieu d'elle " , de cet espace-temps humanisé , inscrit dans un processus babylonien. L'adoration se veut et se doit craintive, il s'agit de se présenter devant le Saint Trône dans le lieu Très Saint, lieu qui nous vaudrait la mort instantanée si notre médiateur, Yahshoua, avocat de nos vies, ne siégeait pas à la droite du Père, intercédant pour nous à chaque fois que nous osons nous présenter devant le Roi suprême....L'histoire d'Esther vient donner une forte couleur à nos audaces.
Adorer n'a guère de parenté avec l'exaltation fébrile ou une quelconque ambiance de festivité charnelle. Adorer s'inscrit dans une position de respect, d'allégeance, de soumission.
Première étape avant d'enclencher une réjouissance, réjouissance qui se fait dans le tremblement parce que nous avons osé nous approcher de notre Abba , Père , papa, par le voile déchiré, ce qui n'enlève en rien la suprématie d'Elohim qui ne peut et ne pourra jamais nous regarder qu'à travers le sang de son Fils.
Ne pas l'oublier est un gage de survie et de bonheur !
Les rois de la terre se soulèvent, les princes se liguent ensemble contre l’Adonaï et son oint.
"Brisons [disent-ils] leurs liens. Rejetons loin de nous leurs chaînes!"
Celui qui réside dans les cieux en rit, le Seigneur se raille d’eux.
Puis il les apostrophe dans sa colère et, dans son courroux, il les terrifie:
"C’est moi [dit-il] qui ai consacré mon roi sur Sion, ma montagne sainte!"
Je veux proclamer ce qui est une loi immuable: "L’Adonaï m’a dit: Tu es mon fils, c’est moi qui, aujourd’hui, t’ai engendré!
Demande-le-moi, et je te donnerai des peuples comme héritage, les confins de la terre pour domaine.
Tu les briseras avec un sceptre de fer, tu les broieras comme un vase de potier."
Et maintenant, ô rois, sachez comprendre, tenez-vous pour avertis, juges de la terre!
Adorez l’Adonaï avec crainte, et réjouissez-vous [en Elohim] avec tremblement.
Rendez hommage au fils, de peur qu’il ne s’indigne, et que vous n’alliez a votre perte; car bien vite sa colère prend feu: heureux tous ceux qui s’abritent en lui!
Tehilim 2
L'ensemble des Tehilim est une allégorie de toute l'œuvre de la Création depuis l'avant de la mise en forme de notre planète jusqu'à la rédemption finale du Fils Ben Elohim, Yahshoua HaMashiah.
Après le Tehilim 1, qui se veut être une introduction au 150 messages prophétiques, introduction destinée aux enfants et aux soldats d'Adonaï Cebaot , le chef des armées, la couleur est donnée d'emblée par le chapître 2 : Tout repose sur la reconnaissance du Fils.
David annonce l'existence du Fils...il va plus loin, sous l'inspiration du Souffle, il fait le comparatif du sort des rois, issus des hommes et du Roi sacré, celui a qui l'hommage doit être rendu.
Lui le Mélek (roi) désigné par Elohim, s'inscrit dans une humilité voulue et reconnue , il place avant lui le Fils, le seul Mélek digne de reconnaissance. Sublime témoignage pour les temps modernes où se gaussent sur estrade et autre piédestal des "conducteurs" tant politiques que religieux de tous bords, s'évertuant à chercher une renommée étiquetée à qui mieux mieux, par des dénominations à banderoles gravées dans le sable (pierre et béton)....La tempête soufflera sur tous les édifices faits de mains d'homme; aucun ne résistera, la prophétie du Mashiah s'accomplira en temps et en heure.
La rhétorique de David pousse à la méditation. Le titre de roi n'est pas l'apanage d'un titre honorifique , politique ou gouvernementale. Il revêt la position de tout un chacun dès lors que l'être humain , là où sa posture se révèle plus imposante que la norme, joue à l'artiste en haut de l'affiche.
La Parole parle de l'enfant Roi....De même elle prévient des temps de la fin où la jeunesse sera arrogante, irrespectueuse, n'honorant guère ses parents et encore moins ses congénères.
Dès le Tehilim 2, le Ruah avertit de l'importance de ne pas se placer en haut de l'affiche et encore moins, en tant que parents, responsable, adulte à quelque niveau que ce soit, de laisser son prochain prendre la place du seul Roi qui soit digne d'hommage, Yahshoua.
Laisser l'enfant dans un délire de confrontation avec l'adulte le met indéniablement dans une posture de Roi. Il sera brisé par "un sceptre de fer, broyé comme un vase de potier".
Laisser nos bien-aimés , adultes ou non, s'assoire sur un trône royal contribue à bien des épreuves dans le futur, épreuves qui auraient et qui pourraient être largement évitées.
Des le second verset, il est question du Oint de l'Adonaï. La planète, sous l'effigie du prince des Ténèbres, complote contre la Seule Royauté qui soit, mettant l'homme à la place du Calife, le faisant "Elohim" à la place d'Elohim.
La seul loi Immuable qui excelle en matière de Vérité, repose sur l'engendrement du Fils par Elohim. Il a été placé au-dessus de ses compagnons nous révèle ailleurs la Parole. Vouloir un roi dans sa famille, au sein de ses enfants, vouloir un roi dans sa communauté au sein de la qehila, revient à renier le Fils engendré, celui à qui toute la terre doit rendre hommage.
Et maintenant....
Cela sonne comme un ultimatum, pour chacun d'entre nous. Le temps est lié au Maintenant. Point demain ni dans un futur lointain. Cet avertissement se retrouve dans 2 Corinthiens 6:2
"c'est Aujourd'hui le temps du Salut" salut qui signifie Délivrance....
La délivrance mot plus ajusté et plus vrai que salut, puisque Yahshoua signifie YHWH sauve, délivre, la délivrance donc ne peut conduire à la réjouissance que si elle nous dépouille auparavant de toute tendance, volonté, soit à régner, soit à se laisser diriger par un autre mélek que le seul Mélek légitime, Le Mashiah.
La venue de l'impie séparera le grain de l'ivraie. Elle révèlera ceux qui ont la propension à régner, comme ceux qui ont fait le choix de docteurs dispensant des choses agréables à leurs oreilles, de ceux qui seront identifiés comme brebis isolées, tondues et malades , et qui ont pris le parti d'être errantes en attendant le seul Berger digne de leur hommage.
Tout un programme ...
Ainsi l'ordre de David dans ce Tehilim de "d'Adorer avec crainte et de se réjouir avec tremblement" prend tout son sens.
L'appel à l'adoration doit se faire avec circonspection, sérieux . Il est besoin de procéder avec élimination. Quel Roi adorons nous ? Dans quel assemblée, communauté suis-je ? autant d'éléments à sonder avant de se lancer dans l'adoration pour peu que parmi les participants se cachent de faux rois voire des moutons de panurge vivant par procuration, adorant la créature plutôt que le Créateur.
L'impie rassemblera un ramassis de moutons , adorant la création, choisissant eux même leur propre roi, l'histoire se répètera une nième fois puis viendra la fin.
Adorer avec crainte appelle le disciple à " sortir du milieu d'elle " , de cet espace-temps humanisé , inscrit dans un processus babylonien. L'adoration se veut et se doit craintive, il s'agit de se présenter devant le Saint Trône dans le lieu Très Saint, lieu qui nous vaudrait la mort instantanée si notre médiateur, Yahshoua, avocat de nos vies, ne siégeait pas à la droite du Père, intercédant pour nous à chaque fois que nous osons nous présenter devant le Roi suprême....L'histoire d'Esther vient donner une forte couleur à nos audaces.
Adorer n'a guère de parenté avec l'exaltation fébrile ou une quelconque ambiance de festivité charnelle. Adorer s'inscrit dans une position de respect, d'allégeance, de soumission.
Première étape avant d'enclencher une réjouissance, réjouissance qui se fait dans le tremblement parce que nous avons osé nous approcher de notre Abba , Père , papa, par le voile déchiré, ce qui n'enlève en rien la suprématie d'Elohim qui ne peut et ne pourra jamais nous regarder qu'à travers le sang de son Fils.
Ne pas l'oublier est un gage de survie et de bonheur !
lundi 6 novembre 2017
" TOUTE PLANTE QUE MON PERE N'A PAS PLANTEE SERA DERACINEE."
"Toute plante que mon Père dans les ciels n'aura pas plantée sera déracinée. Laissez-les ! Ils sont des guides aveugles, et quand un aveugle guide un aveugle, ils tombent ensemble dans une fosse."
Matyah (Mathieu) 15:15
Parole de Yahshoua Ben Elohim. Arrêtons nous plus qu'un instant et considérons des vérités spirituelles, matérielles et physiques intrinsèquement liées.
La Parole considère l'homme comme un arbre, symbole référencé de nombreuses fois dès lors que le Salut de l'Adam est en jeu. Nul ne peut vivre sans sa racine initiale, soufflée aux jours premiers dans un Eden exempt de péché.
Pour saisir la portée de cette Vérité en Matyah , il faut au préalable avoir la connaissance de la Torah, et notamment Béréchit (genèse). Le premier Adam, sorti des mains mêmes d'Elohim, a été planté dans un décor bien loin d'Hollywood , bien mieux encore, dans un décor céleste, aux senteurs et lumières qu'aucun réalisateur cinéphile ne saurait égaler.
Adam, arbre enraciné dans l'Echad, Yadchad, de son Père créateur de toutes choses, apparaît comme un Arbre vivant, arrosé chaque jour par la rosée du matin, l'amour d'Adonaï.
Etrangement le mot biblique Hébreu est identique à celui que l'on retrouve dans Proverbes 16:30 concernant l'homme pervers dans ses pensées , dont la signification n'est autre que Fermer !
L'Arbre Fermé à la vie n'est autre qu'un figuier asséché, un arbre sans fruit, un Adam mortel, mort à la Vie, mort à la Vérité, mort au Chemin. Le péché réside en lui, il est à l'image de l'Adam chassé de l'Eden, vivant aux milieux des ronces et des épines, trimant pour un peu de joie sur sa table, emporté par les angoisses et les soucis de ce monde. Le mal ronge si intensément que le malade s'en accommode au point de ne pas, plus, voir la source , refusant le diagnostic, chassant la Vérité pour s'en inventer une plus aisée, plus commode, un leurre qui l'enferre loin de la Vérité qui affranchit.
L'Arbre vivant , humanisé par la seule volonté d'Adonaï comporte deux faces celles du choix de vie par l'Eau qui vivifie et celui de la mort par les pensées perverses; un choix qui ne quittera jamais plus l'humanité jusqu'à son dernier Souffle, le dernier grand jour.
Vos pensées ne sont pas mes pensées dit Elohim ...Esaie 55:8
Ainsi l'homme, quel qu'il soit, se retrouve devant un choix inéluctable: celui d'être une plante, venant d'Elohim , c'est à dire semée en terre, un grain qui a choisi de mourir entièrement à lui-même, ou alors une plante enracinée dans sa propre volonté de faire de sa vie ce que bon lui semble, selon ses propres pensées, celles qui ne sont pas d'Elohim.
Parmi la masse colossale de toutes celles et ceux qui se proclament du Très-haut, peu sont des plantes que le Père des ciels a plantées. Il est primordial de comprendre ici la leçon de Yahshoua . Il interpelle sur deux éléments cruciaux :
1° Etre planté...nous pouvons penser (sic) en toute légitimité humaine, être planté dans l'œuvre , dans l'adhérence du Très-Haut, le Chef des Armées. Encore faut-il s'assurer que c'est bien LUI qui nous a plantés. Si ce n'est pas le cas, qui alors aurait bien pu nous tromper avec notre accord (sic bis) ?
L'aveugle volontaire a cette fatuité visuelle de choisir ce qu'il ne veut en aucun cas voir...Il perçoit mieux qu'un pilote de ligne les lignes directives contraires à ses pensées; il sait parfaitement les éviter. Mieux, il trouve rapidement des adeptes cherchant le docteur aux ordonnances agréables à leurs oreilles, cachant, plus que calmant, la gangrène du péché.
Il appartient au Père de déraciner, cela viendra au jour du Jugement qui commencera pas la Maison du Peuple d'Adonaï. Il convient donc de ne pas aller trop vite en besogne, dans une quelconque condamnation des goyim, voire des "incultes ignorants" en oubliant que les éclairés, ceux qui voient , ceux qui savent , passeront en premier devant le Grand Juge. La hache est déjà à la cognée nous dit la Parole...Le déracinement a déjà commencé.
2° Le deuxième point crucial de cet édicte de Yahshoua devrait nous laisser quelque peu songeur , pour ne pas dire nous pousser à l'introspection profonde menant au vrai repentir. En effet, après le déracinement Ben Elohim ordonne de Laisser ceux qui se disent guides (et non conducteurs dans les moult fausses traductions gréco-romaines). Guides aveugles, sages à leurs propres yeux, plantes issues d'un autre Maître.
Invariablement "sortez du milieu d'elle" résonne sans cesse, un appel à la sauvegarde de nos vies, un gain de temps pour racheter celui qui est mauvais, une mise en garde de vouloir faire à la place du Souffle, le Ruah seul révélateur et précepteur de nos âmes.
A vouloir s'essayer vindicatif là où seul l'éloignement doit être de mise, l'on risque assurément un épuisement spirituel, physique si ce n'est un engloutissement avec tous ceux qui vont tomber ensemble dans leur propre fosse.
Laissez-les ! est le mot d'ordre du Maître ! la Parole ne se porte qu'à ceux qui sont listés dans Esaïe 58 et rien qu'à eux. Le vouloir autrement fait de nous des plantes semées par un autre Maître, et nous amène indubitablement au déracinement final.
Matyah (Mathieu) 15:15
Parole de Yahshoua Ben Elohim. Arrêtons nous plus qu'un instant et considérons des vérités spirituelles, matérielles et physiques intrinsèquement liées.
La Parole considère l'homme comme un arbre, symbole référencé de nombreuses fois dès lors que le Salut de l'Adam est en jeu. Nul ne peut vivre sans sa racine initiale, soufflée aux jours premiers dans un Eden exempt de péché.
Pour saisir la portée de cette Vérité en Matyah , il faut au préalable avoir la connaissance de la Torah, et notamment Béréchit (genèse). Le premier Adam, sorti des mains mêmes d'Elohim, a été planté dans un décor bien loin d'Hollywood , bien mieux encore, dans un décor céleste, aux senteurs et lumières qu'aucun réalisateur cinéphile ne saurait égaler.
Adam, arbre enraciné dans l'Echad, Yadchad, de son Père créateur de toutes choses, apparaît comme un Arbre vivant, arrosé chaque jour par la rosée du matin, l'amour d'Adonaï.
Etrangement le mot biblique Hébreu est identique à celui que l'on retrouve dans Proverbes 16:30 concernant l'homme pervers dans ses pensées , dont la signification n'est autre que Fermer !
L'Arbre Fermé à la vie n'est autre qu'un figuier asséché, un arbre sans fruit, un Adam mortel, mort à la Vie, mort à la Vérité, mort au Chemin. Le péché réside en lui, il est à l'image de l'Adam chassé de l'Eden, vivant aux milieux des ronces et des épines, trimant pour un peu de joie sur sa table, emporté par les angoisses et les soucis de ce monde. Le mal ronge si intensément que le malade s'en accommode au point de ne pas, plus, voir la source , refusant le diagnostic, chassant la Vérité pour s'en inventer une plus aisée, plus commode, un leurre qui l'enferre loin de la Vérité qui affranchit.
L'Arbre vivant , humanisé par la seule volonté d'Adonaï comporte deux faces celles du choix de vie par l'Eau qui vivifie et celui de la mort par les pensées perverses; un choix qui ne quittera jamais plus l'humanité jusqu'à son dernier Souffle, le dernier grand jour.
Vos pensées ne sont pas mes pensées dit Elohim ...Esaie 55:8
Ainsi l'homme, quel qu'il soit, se retrouve devant un choix inéluctable: celui d'être une plante, venant d'Elohim , c'est à dire semée en terre, un grain qui a choisi de mourir entièrement à lui-même, ou alors une plante enracinée dans sa propre volonté de faire de sa vie ce que bon lui semble, selon ses propres pensées, celles qui ne sont pas d'Elohim.
Parmi la masse colossale de toutes celles et ceux qui se proclament du Très-haut, peu sont des plantes que le Père des ciels a plantées. Il est primordial de comprendre ici la leçon de Yahshoua . Il interpelle sur deux éléments cruciaux :
1° Etre planté...nous pouvons penser (sic) en toute légitimité humaine, être planté dans l'œuvre , dans l'adhérence du Très-Haut, le Chef des Armées. Encore faut-il s'assurer que c'est bien LUI qui nous a plantés. Si ce n'est pas le cas, qui alors aurait bien pu nous tromper avec notre accord (sic bis) ?
L'aveugle volontaire a cette fatuité visuelle de choisir ce qu'il ne veut en aucun cas voir...Il perçoit mieux qu'un pilote de ligne les lignes directives contraires à ses pensées; il sait parfaitement les éviter. Mieux, il trouve rapidement des adeptes cherchant le docteur aux ordonnances agréables à leurs oreilles, cachant, plus que calmant, la gangrène du péché.
Il appartient au Père de déraciner, cela viendra au jour du Jugement qui commencera pas la Maison du Peuple d'Adonaï. Il convient donc de ne pas aller trop vite en besogne, dans une quelconque condamnation des goyim, voire des "incultes ignorants" en oubliant que les éclairés, ceux qui voient , ceux qui savent , passeront en premier devant le Grand Juge. La hache est déjà à la cognée nous dit la Parole...Le déracinement a déjà commencé.
2° Le deuxième point crucial de cet édicte de Yahshoua devrait nous laisser quelque peu songeur , pour ne pas dire nous pousser à l'introspection profonde menant au vrai repentir. En effet, après le déracinement Ben Elohim ordonne de Laisser ceux qui se disent guides (et non conducteurs dans les moult fausses traductions gréco-romaines). Guides aveugles, sages à leurs propres yeux, plantes issues d'un autre Maître.
Invariablement "sortez du milieu d'elle" résonne sans cesse, un appel à la sauvegarde de nos vies, un gain de temps pour racheter celui qui est mauvais, une mise en garde de vouloir faire à la place du Souffle, le Ruah seul révélateur et précepteur de nos âmes.
A vouloir s'essayer vindicatif là où seul l'éloignement doit être de mise, l'on risque assurément un épuisement spirituel, physique si ce n'est un engloutissement avec tous ceux qui vont tomber ensemble dans leur propre fosse.
Laissez-les ! est le mot d'ordre du Maître ! la Parole ne se porte qu'à ceux qui sont listés dans Esaïe 58 et rien qu'à eux. Le vouloir autrement fait de nous des plantes semées par un autre Maître, et nous amène indubitablement au déracinement final.
lundi 23 octobre 2017
"...MAITRISEZ VOS ETRES PAR VOTRE ENDURANCE..."
Vous serez haïs par tous à cause de mon nom.
Un seul cheveu de votre tête ne se perdra jamais.
Maîtrisez vos êtres par votre endurance. Luc 21: 16-19
La Parole faite chair, laisse une trace indélébile quant à la conduite que nous devons avoir. Il n'y a place ici à aucun débat, aucune interprétation. Le faire serait dire à Elohim qu'il a mal formé celui qu'il a élevé au-dessus de ses compagnons pour le faire Fils.
La chute constante de bon nombre qui se disent enfants d'Elohim est à mettre bien souvent en corrélation d'avec le manque d'endurance. La facilité à l'apathie, le laxisme, est une norme , hélas, courante chez tout homme. Peu mènent un combat fidèle sans jamais revenir en arrière, ou s’asseoir sur le bas côté, une sorte de gréviste spirituel.
L'endurance , citée par Yahshoua, est nommée dans un contexte de combat spirituel. Le NOM de Yahshoua amène indubitablement à une position de rejet. Nul enfant d'Elohim ne peut vivre une adhérence au NOM qui sauve , le vrai , sans être en butte rapidement à la haine de ceux qui refusent justement ce NOM.
Le modèle du deuxième ciel, là où résident les ténèbres, a envahi notablement la surface de la terre, faisant d'un nom tronqué, une norme obligatoire pour qui veut la "paix". Ainsi l'enfant dans la crèche porte un faux nom , démuni de toute autorité d'Elohim, amenant les hommes dans une errance spirituelle, aveugle , mesquine, larvée de sentiments humanistes, conduisant aux guerres de religions, évitant le réel combat , celui de l'endurance parce que maltraité à cause du VRAI NOM.
Or pour mener ce combat , encore faut-il accepter de maîtriser son être. C'est là que tout se joue, l'homme étant par excellence un caliméro dès la naissance : C'est la faute à "pas de chance", "la faute à la femme que tu as mise à mes côtés" disait en son temps Ish, le premier homme, Adam.
Combien se gaussent de vivre en bons témoins de la Parole, sans histoire majeure avec son entourage. Le NOM qui sauve amène sans conteste des situations de rejet, de persécutions, quelque soit le temps et l'endroit où nous nous trouvons. Ils manifestent par là un refus de la Vérité, préférant les arrangements mensongers de ce monde, aux arrhes du Royaume à venir.
"Vous serez haïs par TOUS.." prévient Le Maître.
N'est-ce pas étrangement le TOUS annoncé par Zacharie, quand il prophétise que TOUTES les nations monteront contre Yeroushalaïm ? Zacharie 12
Il n'y a aucun mystère ici, juste une vérité voilée pour les rebelles, révélée aux enfants d'Elohim. Tous haïssent la Vérité qui se trouve être Yahshoua , loin d'un bébé cérémonial de fin d'année sacrifiée à des Baals cachés sous un faux nom.
Maîtriser sa chair vient en définitive après avoir accepté d'être haïs par tous, en citant la Parole et rien qu'elle, sans nuance aucune, sans tolérance, sans crainte.
Première étape incontournable pour celui et celle qui se veut disciple d'Adonaï: déshabiller les textes de tout mensonge scripturaire , laisser la Lumière d'en-Haut par le Ruah redorer le blason du Prince de la Vie .
Alors la deuxième étape prend forme, conduisant le disciple sur le Chemin Etroit et faisant de lui par l'épée acérée de la Parole, un véritable combattant. Son combat étant dès à présent sa chair pour la brider, la maîtriser. En cela l'Endurance, cette volonté à long terme d'être égal à soi même, fidèle à la Parole, vient sceller l'identité nouvelle de l'enfant d'Elohim.
Endurer quelque soient le temps, les circonstances. Endurer face aux proches, face aux autres, face aux autorités. Endurer pour vaincre, Endurer pour gagner, Endurer pour que Yahshoua Ha Mashiah n'ait pas à rougir de nous.
Endurer c'est tenir la même ligne de conduite tant dans nos paroles que dans nos actes. C'est avoir dans nos bouches le OUI ou le NON , qui révolutionnent les habitudes laxistes et mensongères de ce monde.
Endurer, au final être comme Yahshoua, ne jamais dévier d'un seul iota de ce que dit la Parole et ne jamais renier dans les moindres détails nos actions, nos promesses, nos vœux.
C'est à ce prix là que la Torah et toute la bible ont été écrites, parce que vécues par des hommes et des femmes qui n'ont pas craint la mort, fidèles à leur parole parce que La Parole faite chair vivait en eux.
Alors nous pourrons nous réjouir d'être persécutés à cause de son NOM....Mathieu 5:11
Un seul cheveu de votre tête ne se perdra jamais.
Maîtrisez vos êtres par votre endurance. Luc 21: 16-19
La Parole faite chair, laisse une trace indélébile quant à la conduite que nous devons avoir. Il n'y a place ici à aucun débat, aucune interprétation. Le faire serait dire à Elohim qu'il a mal formé celui qu'il a élevé au-dessus de ses compagnons pour le faire Fils.
La chute constante de bon nombre qui se disent enfants d'Elohim est à mettre bien souvent en corrélation d'avec le manque d'endurance. La facilité à l'apathie, le laxisme, est une norme , hélas, courante chez tout homme. Peu mènent un combat fidèle sans jamais revenir en arrière, ou s’asseoir sur le bas côté, une sorte de gréviste spirituel.
L'endurance , citée par Yahshoua, est nommée dans un contexte de combat spirituel. Le NOM de Yahshoua amène indubitablement à une position de rejet. Nul enfant d'Elohim ne peut vivre une adhérence au NOM qui sauve , le vrai , sans être en butte rapidement à la haine de ceux qui refusent justement ce NOM.
Le modèle du deuxième ciel, là où résident les ténèbres, a envahi notablement la surface de la terre, faisant d'un nom tronqué, une norme obligatoire pour qui veut la "paix". Ainsi l'enfant dans la crèche porte un faux nom , démuni de toute autorité d'Elohim, amenant les hommes dans une errance spirituelle, aveugle , mesquine, larvée de sentiments humanistes, conduisant aux guerres de religions, évitant le réel combat , celui de l'endurance parce que maltraité à cause du VRAI NOM.
Or pour mener ce combat , encore faut-il accepter de maîtriser son être. C'est là que tout se joue, l'homme étant par excellence un caliméro dès la naissance : C'est la faute à "pas de chance", "la faute à la femme que tu as mise à mes côtés" disait en son temps Ish, le premier homme, Adam.
Combien se gaussent de vivre en bons témoins de la Parole, sans histoire majeure avec son entourage. Le NOM qui sauve amène sans conteste des situations de rejet, de persécutions, quelque soit le temps et l'endroit où nous nous trouvons. Ils manifestent par là un refus de la Vérité, préférant les arrangements mensongers de ce monde, aux arrhes du Royaume à venir.
"Vous serez haïs par TOUS.." prévient Le Maître.
N'est-ce pas étrangement le TOUS annoncé par Zacharie, quand il prophétise que TOUTES les nations monteront contre Yeroushalaïm ? Zacharie 12
Il n'y a aucun mystère ici, juste une vérité voilée pour les rebelles, révélée aux enfants d'Elohim. Tous haïssent la Vérité qui se trouve être Yahshoua , loin d'un bébé cérémonial de fin d'année sacrifiée à des Baals cachés sous un faux nom.
Maîtriser sa chair vient en définitive après avoir accepté d'être haïs par tous, en citant la Parole et rien qu'elle, sans nuance aucune, sans tolérance, sans crainte.
Première étape incontournable pour celui et celle qui se veut disciple d'Adonaï: déshabiller les textes de tout mensonge scripturaire , laisser la Lumière d'en-Haut par le Ruah redorer le blason du Prince de la Vie .
Alors la deuxième étape prend forme, conduisant le disciple sur le Chemin Etroit et faisant de lui par l'épée acérée de la Parole, un véritable combattant. Son combat étant dès à présent sa chair pour la brider, la maîtriser. En cela l'Endurance, cette volonté à long terme d'être égal à soi même, fidèle à la Parole, vient sceller l'identité nouvelle de l'enfant d'Elohim.
Endurer quelque soient le temps, les circonstances. Endurer face aux proches, face aux autres, face aux autorités. Endurer pour vaincre, Endurer pour gagner, Endurer pour que Yahshoua Ha Mashiah n'ait pas à rougir de nous.
Endurer c'est tenir la même ligne de conduite tant dans nos paroles que dans nos actes. C'est avoir dans nos bouches le OUI ou le NON , qui révolutionnent les habitudes laxistes et mensongères de ce monde.
Endurer, au final être comme Yahshoua, ne jamais dévier d'un seul iota de ce que dit la Parole et ne jamais renier dans les moindres détails nos actions, nos promesses, nos vœux.
C'est à ce prix là que la Torah et toute la bible ont été écrites, parce que vécues par des hommes et des femmes qui n'ont pas craint la mort, fidèles à leur parole parce que La Parole faite chair vivait en eux.
Alors nous pourrons nous réjouir d'être persécutés à cause de son NOM....Mathieu 5:11
samedi 14 octobre 2017
"...QUE VOTRE PATIENCE SOIT CONNUE DE TOUS LES HOMMES..."
Ainsi, mes frères aimés et désirés, ma joie et ma couronne, tenez ferme en l'Adon, bien-aimés.
J'exhorte Euodia, j'exhorte Syntychè à penser de même en l'Adon.
Certes, à toi aussi Syzygos, je te demande de les aider, eux qui ont combattu avec moi pour
l'annonce avec moi pour l'annonce avec Clemens et mes autres collaborateurs dont les noms sont dans le volume de la vie.
Réjouissez-vous dans l'Adon toujours; je vous le dis encore : réjouissez-vous !
Que votre patience soit connue de tous els hommes : l'Adon est proche !
Ne vous angoissez de rien, mais en tout, par la prière et l'imploration en remerciements, faites
connaître vos requêtes à l'Elohim.
La paix d'Elohim, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées dans le messie Yahshoua. Philippiens 4:10
Paul s'adresse aux habitants de Philippes, ville grecque, en Macédoine. Il peut nommément s'épancher en tout état de cause, puisque ses voyages réguliers l'ont conduit à entrer plus intimement en relation avec les uns et les autres. Ce contexte est important pour délimiter les axes d'interventions en tant que soldat d'Elohim. A l'image d'Adonaï qui intervient selon que nous connaissons ou non les ordonnances, les préceptes, et surtout son Saint Nom, le soldat se doit de se laisser conduire par le Souffle dans ses propos.
Selon l'avancée de la connaissance, le soldat va devoir utiliser son épée, la Parole, de façon plus "patiente" ou tranchante....
Il faut rectifier urgemment les traductions erronées , émanant des grecos-romains, pour, sans aucun doute, induire en erreur la populace et voiler la Vérité, de sorte que le culte à Râ puisse surpasser le véritable culte à Elohim.
Ainsi, il faut noter le mot "patience " présenté faussement par "douceur". La douceur dans la Parole, prend la forme de plusieurs traductions; la remettre dans son contexte éclaire le lecteur et ouvre la voie à la vraie Liberté, loin de l'amour Humaniste.
Le premier indice de "fausse traduction" est immanquablement la Parole elle-même qui s'éclaire et ne peut en aucun cas se contredire.
Comment, à l'exemple de Yahshoua qui a su user d'un verbiage plus qu'acéré avec des "races de vipères" et le fouet dans le Temple, pourrions nous développer une "douceur" à toute épreuve tout en ayant Yahshoua qui vit en nous ? Une équation insoluble si nous persistons à garder les œillères vendues par le système babylonien, toutes doctrines confondues.
Cela relève donc du bon sens, de la Lumière de Celui qui ne peut se renier.
Le mot "douceur" est traduit par le grec epi et eko, littéralement : être comme au temps de ....
Cela change la donne, n'est-ce pas ?
Ce que Paul a écrit peut donc se lire ainsi "Soyez dans l'attitude comme au temps de...(Yahshoua) attitude connue de tous les hommes:...
La suite du texte alors devient lumineuse :
L'Adon est proche ! sous entendu, "trouvera-t-il assez d'adhérence en chacun de nous , manifestée par une attitude comme quand il était présent, nous enseignant et nous montrant comment faire ?"....
D'ailleurs que viendrait faire ici le mot "douceur" dans un contexte d'imploration et de supplications relatives aux différentes situations personnelles des uns et des autres ?
Comment Paul , face à un contexte épineux du quotidien par les Philippiens, sans aucun doute confrontés tantôt à la disette, tantôt à des persécutions , viendrait-il ordonner d'être "doux" à tel point que tous en aient connaissance ?
Un non sens !
Paul utilise le mot epiekho : Equitable, juste, convenable . La connotation de douceur y est associée sans être première en signification . Donc : Que votre justice soit douce et légère comme le fardeau laissé par Yahshoua...!
Ainsi le soldat a ordre dans toute situation, quelle qu’elle soit, de rester équitable, juste selon la Parole qui est comme une épée à DOUBLE TRANCHANT....séparant ce qui beau de ce qui est vil.
Tout un programme !
Cette missive s'inscrit dans une contexte douloureux , puisque Paul en arrive à solliciter la justice , la patience, de membres enfants d'Elohim, envers certains qui semblent flancher , anciens combattants, voire collaborateurs de Paul lui-même.
Etre équitable en aidant, c'est l'ordre sans conteste de Paul ! Comment donc être équitable tout en aidant ? C'est le fait d'Aider qui est équitable. Or aider n'est en rien synonyme de laxisme, ni de compromis. Aider équitablement, c'est tout simplement actionner la Torah, et rien que la Torah.
C'est refuser de dévier sous couvert d'humanisme, c'est être encore et toujours soldat , guerrier, avec le fusil sans la fleur.
Yahshoua avait le fouet, Paul avait des actions plus expéditives encore, "ça passe ou ça casse" dirions nous de nos jours.
La réflexion de Paul invite à la fois d'être équitable face à toute situation difficile , elle s'allie à la nécessité de ne pas "s'angoisser"...Tout s'éclaire !
Paul de par sa vie exemplaire, peut conseiller des actions, lui qui a baigné dans la soumission de la Torah, a développé la justice équitable en Yahshoua, lui permettant alors de ne plus s'angoisser , de laisser agir Elohim par son Fils Yahshoua.
Il le fera si exemplairement qu'il se laissera conduire à l’abattoir comme son Maître démontrant jusqu'à la mort qu'être comme au temps de Yahshoua, ferme et sans compromis , patient en appliquant la Torah , est faisable, il l'a fait !
Yahshoua a vécu l'agonie dans le jardin de Gethsémani , Luc 22:44. Là aussi, les Ténèbres ont tenté de cacher la Vérité. Bon nombre de traduction parle d'angoisse...comme si le Fils d'Elohim pouvait douter de la bonté, de l'Amour indéfectible d'Elohim, son Père !
Le mot Agonie, traduit par Agon, signifie : Lutter jusqu'à la Victoire !
Yahshoua a lutter contre les Ténèbres, pour l'univers , pour les siens et ceux à venir, jusqu'à obtenir la Victoire ! C'est un combat qui échappe aux aveugles, un combat certes physique, mais qui trouve sa source dans le monde spirituel, monde dévoilé qu'aux enfants d'Elohim, et caché aux "sages de ce monde" !
Paul ne peut évidement pas user du même sens en enjoignant les Philippiens à ne pas "s'angoisser" ! Il s'agit ici de combat purement quotidien et certes pas l'ultime combat mené par le Fils , le deuxième Adam, seul Agneau immolé pour nos péchés !
Le mot utilisé par Paul est Merimna : Etre inquiet , être troublé par des soucis.
Nous sommes aux antipodes de la réalité spirituelle que mène Paul, Apôtre , modèle, esclave volontaire au Mashiah !
Paul est encore obligé de rappeler aux Philipiens , qu'ils ont connu la Vérité, qu'ils l'ont vécu. Il est encore tenu, tout comme Moshé, de ressasser inlassablement les mêmes discours, pour rappeler que les soucis du quotidien ne sont plus d'actualité quand nous avons endossé l'armure du Soldat d'Elohim, Tsébaot.
Paul est patient sans pour autant prendre des gants. Il rappelle qui ils sont, ce qu'ils ont connu, ce qu'ils ont vécu. Il pointe du doigt leur état de pauvreté spirituelle, eux qui s’enquièrent encore et toujours du lendemain, eux qui tout en se disant enfant d'Elohim par le Sang de Yahshouah, se lamentent sur leur sort humain.
Oui, la douceur n'a point de part dans cette missive. Par contre l'équité dans ce qui est convenable , autre sens du mot employé par Paul, vient parachever une justesse d'écriture amenant les concernés à une prise de conscience libératrice.
Cette missive nous est parvenue, à nous participants de la fin des Temps. La question reste posée :
Le Fils de l'homme trouvera-t-il chez nous, à son retour, une attitude comme lors de sa première venue, manifestée par nous dans une attitude de prières et d'implorations de remerciements ?
A méditer !
mardi 10 octobre 2017
"...LA PUISSANCE D'ELOHIM NOUS A TOUT DONNE..."
La puissance divine nous a tout donné, vie et ferveur, à travers la pénétration de celui qui nous a appelés par sa gloire et vertu.
Par elles, il nous a octroyé de précieuses et très grandes promesses, en fuyant la corruption qui est dans l'univers, du fait de la convoitise.
Pour cela même, déployant tout effort, ajoutez à votre adhérence la vertu; à la vertu, la pénétration; à la pénétration, la maîtrise de soi; à la maîtrise de soi, l'endurance; à l'endurance, la ferveur; à la ferveur, l'amitié fraternelle; à l'amitié fraternelle, l'amour.
Oui, cela existant et abondant en vous ne vous laissera ni oisifs ni stériles pour la pleine connaissance de notre Adon Yahshoua, le Mashiah. 2 Pierre 1:3-8
Vaste programme détaillé ici par l'apôtre Pierre; d'autant que Pierre sait parfaitement de quoi il parle.
Lui le brailleur, le fougueux, le tout feu tout flamme, éphémère dans ses choix au moment cruciale , abandonnant tout de go celui par qui il a vécu, durant TROIS ans, l'intimité de la Délivrance, le Salut, lui, Pierre, révèle un cœur de pierre, éloigné de la vertu, de la pénétration, de la maîtrise de soi, de l'endurance , de la ferveur, de l'amitié fraternelle, de l'amour !
Pierre est le prototype même de ce que nous sommes quand la pénétration de la Parole faite chair n'est pas descendue au plus profond de notre âme, quand elle se contente de faire du sur-place, quand elle stagne dans notre marais, rempli d'algues vertes, polluant jusqu'à notre souffle.
La vertu ! Pierre en connait un rayon. Il faut une dose amplifiée de vertu, c'est à dire une disposition spirituelle conséquente pour résister au jour de l'épreuve ultime : la mort.
La mort n'est pas l'apanage du physique, elle revêt multiples ceintures, telles que les choix journaliers dans ce monde sous la tutelle du Prince du mensonge, de l'impudicité, du fruit malin trempé dans la coupe mamonique sonnante et trébuchante ! Oui, l'amour de l'argent est source de tous les maux nous dit la Parole.
La vertu est en guerre avec l'insuffisance rénale dans la mesure où la ceinture de vérité entourant nos reins se dégrade rapidement pour peu qu'elle doit côtoyer sans vergogne les impuretés de ce monde.
Évacuer, sortir du milieu d'elle redonne force et vertu à nos reins, la ceinture pouvant à nouveau flamber comme neuve , témoin de notre vertu .
Pierre n'avait pas cette disposition spirituelle, envers et contre tout et tous. L'ultime combat du Mashiah , fils de l'homme , ben Elohim, a provoqué un raz de marée , entraînant le disciple fougueux à lâcher prise. Yahshoua a perdu , momentanément, celui pour qui il allait mourir allant jusqu'à dire "pardonne-leur Père, ils ne savent pas ce qu'ils font"....Luc 23:34
La vertu est le premier composant d'un antidote au reniement. Sans elle, point de pénétration...
La logique humaine voudrait inter-changer l'ordre et nous présenter la Pénétration comme moteur de toute une vie sainte sans faille , garantie absolue d'une fidélité au Mashiah.
Or, pour qu'il y ait pénétration de la Parole en nos cœurs, plus que tortueux pardessus tout, encore faudrait-il qu'il y ait une volonté tenace , une disposition à toute épreuve, une violence volontaire pour s'emparer du Royaume à venir.
Celui qui cherche trouve nous indique Yahshoua, encore faut-il chercher jusqu'à ce que l'objet de notre quête soit trouvé....Ténacité serait la sœur jumelle de Vertu...sans ténacité point de Vertu et sans Vertu la ténacité serait vaine.
Le chemin étroit nécessite immanquablement une vertu à toute épreuve, une disposition spirituelle amenant dès lors l'acceptation de recevoir dans notre tabernacle intime la compréhension telle qu'elle nous est formulée par le Ruah, et non plus telle que notre intelligence étriquée voudrait nous la faire ingurgiter.
Ainsi Pierre, de par son vécu, a saisi l'importance d'avoir en premier lieu la vertu , disposition spirituelle incontournable pour que la semence tombe dans la bonne terre.
C'est à ce prix là uniquement que la Maîtrise de soi, celle qui fera de Pierre, des années plus tard, un vainqueur jusqu'à sa mort quasi identique à son Maître, peut se développer.
Vouloir inverser les étapes conduit le soldat d’Elohim à l'échec assuré. C'est en deuxième position après avoir développé ,démontré et vécu la vertu, que se manifeste la pénétration de la Parole. Un matin à la Lumière d'Elohim, celui de par devant qui brillent les 7 Lampes, notre souffle reçoit la capacité de maîtriser notre "moi" , notre chair....
"La puissance divine nous a tout donné...."
Pierre reparti dans le monde du travail, le monde tout court, rencontrera véritablement, sur son lieu de travail, celui qu'il a abandonné faute de savoir l'ordre spirituel donné par Elohim pour être des soldats vainqueurs. Oui, il ne savait pas ce qu'il faisait , pauvre Pierre quand il a fuit devant le danger du poteau.
C'est donc en connaissance de cause que Pierre parle en troisième position de la maîtrise de soi. Cette action spirituelle, est le fruit d'un travail en profondeur dans notre âme, dans notre souffle, résultat d'un dur labeur de vertu , de pénétration de la Parole.
La question restera posée jusqu'au bout aux enfants d'Elohim:
"Avons-nous la disposition spirituelle pour accepter , connaître et suivre le chemin étroit, pour revenir à la Maison du Père, aux puits anciens " ?
C'est le message de Pierre .
Première étape avant d'enclencher l'action , le faire déterminant , révélant soit l'airain qui résonne, soit la Lumière véritable d'Elohim en nous par Yahshoua.
Ainsi arrive seulement en quatrième position l'endurance. Pierre sait qu'il n'a pas pu endurer l'épreuve du Mashiah par manque de connaissance , de respect de l'ordre des choses.
Endurer sans disposition spirituelle reviendrait à vouloir courir un marathon sans vouloir se préparer durant de longs mois, avec assiduité....
Le tout tout de suite, la promptitude à la désobéissance est un signal d'alarme , un voyant rouge, la vertu est en baisse....
L'endurance marque la différence entre le soldat d'Elohim et les consommateurs, ceux qui entendent , mais oublient qui ils sont, repartent à leurs affaires, les inconstants, hommes emportés à tous vents.
L'endurance n'a d'égale que le dosage de vertu, de pénétration, de maîtrise de soi. Étrangement le shabbat arrive à la quatrième position dans les dix paroles. Étrangement Paul dira du shabbat qu'il faut s'efforcer d'y entrer comme si rien n'est gagné à l'avance, comme s'il fallait de l'endurance pour y accéder, comme si la maîtrise de soi dépendait de la vertu renforcée par la pénétration de la Parole pour garder le signe, la marque entre le peuple et Adonaï.
Une fois doté de l'endurance, alors la ferveur peut se manifester. Combien se lancent dans un plaidoyer de ferveur, ardeur passionnée, élan enthousiaste , qui retombe comme un soufflé au fromage...
La chair sensible aux ondes et aux ambiances, manifeste allègrement les limites humaines, rendant caduque toute action de copié-collé...
Seule la ferveur émanant d'un arbre fruitier aux racines de la vertu en Yahshoua pourra tenir dans le temps et vaincre les épreuves.
C'est seulement à ce stade que Pierre ose parler d'amitié fraternelle, lui qui a laissé son ami mourir sans se positionner, sans l'aider, sans mettre à exécution ses engagements d'antan.
Notre pauvre Pierre a compris durement la leçon, il a eu le temps de la réflexion , le ruah a sans aucun doute travaillé son cœur de pierre pour le rendre de chair.
L'amitié fraternelle ne s'invente pas, elle ne s'oblige pas. Elle est le fruit visible d'un travail en profondeur de l'être du soldat. Faute de carburant Vertu, pénétration, maîtrise de soi, ferveur, point d'amitié fraternelle.
Les amis sont rares, les rangs de l'armée d'Elohim ne peuvent contenir que des amis enracinés dans la vertu spirituelle du Mashiah. Leur nombre est égal au reste qui suivra jusqu'au bout Mahsiah dans l'abondance comme dans la disette, dans la persécution, dans la haine, jusqu'à la mort.
A ce stade alors le mot Amour prend tout son sens. Il ne peut fleurir qu'à ce stade et rien qu'à ce stade. Parler d'amour avant ce qui précède est un leurre amenant bon nombre à de cuisants échecs.
L'amour , tel un Lys , un shoshana , se chante sur une portée céleste, tel Cantique des cantiques. Il développe les senteurs de la vertu, de la pénétration, de la maîtrise de soi, de la ferveur. Il s'accompagne tout au long de ses tiges, de l'amitié fraternelle pour éclore lumineux , cristallisé à l'image de son Créateur, celui qui siège dans un décor de transparence diamantaire.
Alors l'ultime peut arriver. Alors le "jusqu'au bout" trouvera son apogée. Alors le miracle aura lieu.
L'amour ne périra jamais !
Par elles, il nous a octroyé de précieuses et très grandes promesses, en fuyant la corruption qui est dans l'univers, du fait de la convoitise.
Pour cela même, déployant tout effort, ajoutez à votre adhérence la vertu; à la vertu, la pénétration; à la pénétration, la maîtrise de soi; à la maîtrise de soi, l'endurance; à l'endurance, la ferveur; à la ferveur, l'amitié fraternelle; à l'amitié fraternelle, l'amour.
Oui, cela existant et abondant en vous ne vous laissera ni oisifs ni stériles pour la pleine connaissance de notre Adon Yahshoua, le Mashiah. 2 Pierre 1:3-8
Vaste programme détaillé ici par l'apôtre Pierre; d'autant que Pierre sait parfaitement de quoi il parle.
Lui le brailleur, le fougueux, le tout feu tout flamme, éphémère dans ses choix au moment cruciale , abandonnant tout de go celui par qui il a vécu, durant TROIS ans, l'intimité de la Délivrance, le Salut, lui, Pierre, révèle un cœur de pierre, éloigné de la vertu, de la pénétration, de la maîtrise de soi, de l'endurance , de la ferveur, de l'amitié fraternelle, de l'amour !
Pierre est le prototype même de ce que nous sommes quand la pénétration de la Parole faite chair n'est pas descendue au plus profond de notre âme, quand elle se contente de faire du sur-place, quand elle stagne dans notre marais, rempli d'algues vertes, polluant jusqu'à notre souffle.
La vertu ! Pierre en connait un rayon. Il faut une dose amplifiée de vertu, c'est à dire une disposition spirituelle conséquente pour résister au jour de l'épreuve ultime : la mort.
La mort n'est pas l'apanage du physique, elle revêt multiples ceintures, telles que les choix journaliers dans ce monde sous la tutelle du Prince du mensonge, de l'impudicité, du fruit malin trempé dans la coupe mamonique sonnante et trébuchante ! Oui, l'amour de l'argent est source de tous les maux nous dit la Parole.
La vertu est en guerre avec l'insuffisance rénale dans la mesure où la ceinture de vérité entourant nos reins se dégrade rapidement pour peu qu'elle doit côtoyer sans vergogne les impuretés de ce monde.
Évacuer, sortir du milieu d'elle redonne force et vertu à nos reins, la ceinture pouvant à nouveau flamber comme neuve , témoin de notre vertu .
Pierre n'avait pas cette disposition spirituelle, envers et contre tout et tous. L'ultime combat du Mashiah , fils de l'homme , ben Elohim, a provoqué un raz de marée , entraînant le disciple fougueux à lâcher prise. Yahshoua a perdu , momentanément, celui pour qui il allait mourir allant jusqu'à dire "pardonne-leur Père, ils ne savent pas ce qu'ils font"....Luc 23:34
La vertu est le premier composant d'un antidote au reniement. Sans elle, point de pénétration...
La logique humaine voudrait inter-changer l'ordre et nous présenter la Pénétration comme moteur de toute une vie sainte sans faille , garantie absolue d'une fidélité au Mashiah.
Or, pour qu'il y ait pénétration de la Parole en nos cœurs, plus que tortueux pardessus tout, encore faudrait-il qu'il y ait une volonté tenace , une disposition à toute épreuve, une violence volontaire pour s'emparer du Royaume à venir.
Celui qui cherche trouve nous indique Yahshoua, encore faut-il chercher jusqu'à ce que l'objet de notre quête soit trouvé....Ténacité serait la sœur jumelle de Vertu...sans ténacité point de Vertu et sans Vertu la ténacité serait vaine.
Le chemin étroit nécessite immanquablement une vertu à toute épreuve, une disposition spirituelle amenant dès lors l'acceptation de recevoir dans notre tabernacle intime la compréhension telle qu'elle nous est formulée par le Ruah, et non plus telle que notre intelligence étriquée voudrait nous la faire ingurgiter.
Ainsi Pierre, de par son vécu, a saisi l'importance d'avoir en premier lieu la vertu , disposition spirituelle incontournable pour que la semence tombe dans la bonne terre.
C'est à ce prix là uniquement que la Maîtrise de soi, celle qui fera de Pierre, des années plus tard, un vainqueur jusqu'à sa mort quasi identique à son Maître, peut se développer.
Vouloir inverser les étapes conduit le soldat d’Elohim à l'échec assuré. C'est en deuxième position après avoir développé ,démontré et vécu la vertu, que se manifeste la pénétration de la Parole. Un matin à la Lumière d'Elohim, celui de par devant qui brillent les 7 Lampes, notre souffle reçoit la capacité de maîtriser notre "moi" , notre chair....
"La puissance divine nous a tout donné...."
Pierre reparti dans le monde du travail, le monde tout court, rencontrera véritablement, sur son lieu de travail, celui qu'il a abandonné faute de savoir l'ordre spirituel donné par Elohim pour être des soldats vainqueurs. Oui, il ne savait pas ce qu'il faisait , pauvre Pierre quand il a fuit devant le danger du poteau.
C'est donc en connaissance de cause que Pierre parle en troisième position de la maîtrise de soi. Cette action spirituelle, est le fruit d'un travail en profondeur dans notre âme, dans notre souffle, résultat d'un dur labeur de vertu , de pénétration de la Parole.
La question restera posée jusqu'au bout aux enfants d'Elohim:
"Avons-nous la disposition spirituelle pour accepter , connaître et suivre le chemin étroit, pour revenir à la Maison du Père, aux puits anciens " ?
C'est le message de Pierre .
Première étape avant d'enclencher l'action , le faire déterminant , révélant soit l'airain qui résonne, soit la Lumière véritable d'Elohim en nous par Yahshoua.
Ainsi arrive seulement en quatrième position l'endurance. Pierre sait qu'il n'a pas pu endurer l'épreuve du Mashiah par manque de connaissance , de respect de l'ordre des choses.
Endurer sans disposition spirituelle reviendrait à vouloir courir un marathon sans vouloir se préparer durant de longs mois, avec assiduité....
Le tout tout de suite, la promptitude à la désobéissance est un signal d'alarme , un voyant rouge, la vertu est en baisse....
L'endurance marque la différence entre le soldat d'Elohim et les consommateurs, ceux qui entendent , mais oublient qui ils sont, repartent à leurs affaires, les inconstants, hommes emportés à tous vents.
L'endurance n'a d'égale que le dosage de vertu, de pénétration, de maîtrise de soi. Étrangement le shabbat arrive à la quatrième position dans les dix paroles. Étrangement Paul dira du shabbat qu'il faut s'efforcer d'y entrer comme si rien n'est gagné à l'avance, comme s'il fallait de l'endurance pour y accéder, comme si la maîtrise de soi dépendait de la vertu renforcée par la pénétration de la Parole pour garder le signe, la marque entre le peuple et Adonaï.
Une fois doté de l'endurance, alors la ferveur peut se manifester. Combien se lancent dans un plaidoyer de ferveur, ardeur passionnée, élan enthousiaste , qui retombe comme un soufflé au fromage...
La chair sensible aux ondes et aux ambiances, manifeste allègrement les limites humaines, rendant caduque toute action de copié-collé...
Seule la ferveur émanant d'un arbre fruitier aux racines de la vertu en Yahshoua pourra tenir dans le temps et vaincre les épreuves.
C'est seulement à ce stade que Pierre ose parler d'amitié fraternelle, lui qui a laissé son ami mourir sans se positionner, sans l'aider, sans mettre à exécution ses engagements d'antan.
Notre pauvre Pierre a compris durement la leçon, il a eu le temps de la réflexion , le ruah a sans aucun doute travaillé son cœur de pierre pour le rendre de chair.
L'amitié fraternelle ne s'invente pas, elle ne s'oblige pas. Elle est le fruit visible d'un travail en profondeur de l'être du soldat. Faute de carburant Vertu, pénétration, maîtrise de soi, ferveur, point d'amitié fraternelle.
Les amis sont rares, les rangs de l'armée d'Elohim ne peuvent contenir que des amis enracinés dans la vertu spirituelle du Mashiah. Leur nombre est égal au reste qui suivra jusqu'au bout Mahsiah dans l'abondance comme dans la disette, dans la persécution, dans la haine, jusqu'à la mort.
A ce stade alors le mot Amour prend tout son sens. Il ne peut fleurir qu'à ce stade et rien qu'à ce stade. Parler d'amour avant ce qui précède est un leurre amenant bon nombre à de cuisants échecs.
L'amour , tel un Lys , un shoshana , se chante sur une portée céleste, tel Cantique des cantiques. Il développe les senteurs de la vertu, de la pénétration, de la maîtrise de soi, de la ferveur. Il s'accompagne tout au long de ses tiges, de l'amitié fraternelle pour éclore lumineux , cristallisé à l'image de son Créateur, celui qui siège dans un décor de transparence diamantaire.
Alors l'ultime peut arriver. Alors le "jusqu'au bout" trouvera son apogée. Alors le miracle aura lieu.
L'amour ne périra jamais !
mercredi 4 octobre 2017
"...MAIS TOUS LES ENFANTS D'ISRAEL JOUISSAIENT DE LA LUMIERE DANS LEURS DEMEURES..."
YHWH dit à Moché "Dirige ta main vers le Ciel et des Ténèbres se répandront sur le Pays d'Egypte, durant Trois Jours.
On ne se voyait pas l'un l'autre et nul ne se leva de sa place, durant Trois Jours, mais les enfants d'Israel jouissaient de la Lumière dans leurs Demeures.
Chemot 10:21-23.
Dès Berechit, au Chapitre Premier de la Création, la Lumière, (Or en hébreu), éclaire le texte à venir, voulant par là même, offrir au lecteur avisé, assoiffé de Vérité, la Portée puissante du choix à faire entre les Ténèbres et les Lumières.
Lire la Parole en voulant rester dans les Ténèbres, ce que la masse emportée à tout vent de rébellion s'acharne à faire, conduit irréversiblement à la chute finale d'avec celui qui était lumière, devenu gérant d'un monde en perdition.
Prétendre au titre de soldat de l’Adonaï Tsébaot, Elohim des Armées, projette le candidat au Salut sur le devant de la scène Royale, loin des coins obscurs d'une salle poussiéreuse. Il est soumis aux feux de la rampe ; le Ruah va dépasser le rôle de souffleur de texte pour devenir le correcteur, l'enseignant, le professeur.
L'enjeu, décrit en Chemot , vécu par Moché pour son époque et pour les fils à naître , le tout Israël, va consister dès lors, à batailler pour maintenir le combattant dans la Lumière du Père .
Certes nous dit-on, l'ennemi ne pourra résister... c'est le leitmotiv quelque peu niais, chanté dans les bâtisses à la gloire de Babylone. Pourtant le but recherché par Elohim vise plus profondément à permettre au Soldat de vérifier qui il est en tant que serviteur, enfant d'Elohim, à la Lumière du Chef des Armées, pour entrer dans le discernement du bien et du mal, de ce qui est du Royaume à Venir en opposition aux Ténèbres où règne la noirceur cachée sous le boisseau, sous le lit....
La moisson, si grande et si peu investie par les soldats , demande à fournir un éclairage consistant, non pas à démontrer qui est Elohim lui-même, ( qui aurait donc cette prétention de transmettre l'image de celui que nul n'a jamais vu...?) mais bel et bien de resplendir soi-même par les œuvres à l'image de celui qui nous a créés afin d'être témoin du Père des Lumières.
Ainsi que votre Lumière resplendisse en face des hommes; ils verront vos œuvres belles, et ils glorifieront votre père des ciels. Mathieu 5:16
Il faut au préalable passer par un choix de taille , tout comme le fera Yahshoua en montant sur le poteau.
Moshé par son aptitude et sa docilité durant 40 ans dans le désert au service d'un beau-père , travaillant le bétail, a été jugé digne de prophétiser sur le devenir du Tout Israël en plongeant l'Egypte, symbole du Pays des Ténèbres, dans la nuit la plus complète durant trois jours.
Yahshoua viendra en son temps, provoquer les Ténèbres durant TROIS heures, le jour de sa mort Mathieu 27:45 . De la 6ième Heure à la 9ième Heure la nuit noire accomplit la prophétie menée par Moshé.
De même que le Tout Israël resta dans la Lumière dans leurs demeures, durant trois jours, Yahshoua ben Elohim de celui devant qui brûlent constamment les 7 Lampes, descendit témoigner dans le séjour des morts, que la Lumière est en Lui pour ceux qui demeurent en Lui...
Fin de la première partie de Moshé face à Pharaon...
Le soldat des temps modernes, a double responsabilité : celle de recevoir la Lumière d'Elohim et celle de la transmettre par l'action des œuvres belles....
La nuit vient où nul ne pourra travailler. "On ne se verra pas l'un l'autre, et personne ne pourra bouger de sa place"...ainsi s'écrira la phase finale quand régnera, à nouveau, le dernier Pharaon annoncé depuis la nuit des temps, celui qui à nouveau se fera Elohim à la place de YHWH.
A nouveau la scène mosaïque se déroulera à la différence que c'est le Mashiah en personne qui
maintiendra les enfants d'Israël, le reste petit troupeau fidèle, dans la Lumière EN LUI, Echad...
Trois jours, trois heures, trois ans à n'en pas douter, la moitié de la semaine de Daniel viendra parachever la deuxième et dernière partie de Moshé face à Pharaon.
Le soldat d'Elohim a dans sa besace une lampe , en lien direct avec les 7 Lampes devant le Trône d'Elohim. Il a la lourde tâche de veiller à la remplir de l'huile Sainte, voix qui souffle dans le désert, qui le corrige, qui l'enseigne et lui rappelle à toute heure ce que la Parole, faite chair, a laissé comme consignes pour notre instruction.
Cette lampe est collée à sa peau, à ses pensées, à ses actions. Elle est comme une première nature détachée de la nature humaine souillée. Elle corrobore les Ecritures, les rend vraies, véritables. Elle produit des actions régulières, force le respect des impies, oblige les perdus à rentrer dans le Royaume du plein Shalom.
Le soldat d'Elohim , n'est en somme, rien d'autre qu'une lumière active, scintillante, attirante, rejetant la poussière, les mauvaises odeurs, pour n'accueillir que la beauté suprême de celui qui est tout en tout, celui qui nous a aimé le premier d'un amour insondable, parfait.
Oui le Soldat d'Elohim se voit, s'entend, s'envie , se jalouse, se veut , se rejette. Ses œuvres sont belles, elles sont la Gloire du Père des Lumières.
vendredi 29 septembre 2017
"...COUREZ DONC AFIN DE L'OBTENIR !..."
Ne savez vous pas qu'au stade les coureurs courent tous,
mais qu'un seul remporte le prix ? Courez donc afin de l'obtenir !
Tout lutteur se maîtrise en tout,
eux pour recevoir une couronne périssable,
mais nous une impérissable.
Moi, donc, je cours ainsi, mais non comme à l'aveuglette;
Je boxe ainsi, mais non comme pour battre l'air.
Mais je malmène mon corps et le traite en serf,
de peur qu'après avoir appelé les autres
je ne sois moi-même disqualifié.
1 Corinthiens 9:24-27
La lettre se veut, au chapitre de la notion de Liberté en Mashiah, une vindicte à tous ceux qui se revendiquent Soldat de l'Armée du Grand Roi, Elohim.
Les composants de cette Qehila sont issus de milieux diverses tant parmi les esclaves que parmi les gens dits "libres". Néanmoins , au sein de ce même groupe , professant le NOM de Yahshoua, le reconnaissant comme seul chemin étroit menant au Père , pour le salut en pérennité, les divisions sont telles , que des clans naissent, se revendiquant d'un tel, ou d'un autre...
La voie à d'autres routes menant au Salut par procuration d'un autre nom, venait de naître...
Paul ne bénéficiait pas de technologie moderne lui permettant d'interagir sur l'instantané. Il lui faut subir le choc des nouvelles, vivre la tristesse de savoir ses enfants "spirituels" en mal d'obéissance, leur choix, pour certains, d'abandonner les connaissances reçues et vécues, pour d'autres de retomber dans la mollesse de la chair, oublieux du vrai combat, le but ultime à atteindre, la couronne de Vie.
Tel un capitaine d'une section de l'Armée, il tente l'unification par le Souffle. Il en appelle à leur bon sens, à leur connaissance, à son exemple, à son témoignage, comme s'il savait qu'après ces lettres, s'ils ne bougeaient pas, plus rien ne pourrait venir les convaincre. Et pour cause, c'est inspiré par Celui qui Convainc, le Souffle de Vérité, que Paul interpelle.
Il ne joue pas la corde sensible des sentiments qui se mentent à eux même. Il en appelle à la réalité du Salut, du dernier grand jour qui fera que chacun d'entre eux devra répondre de sa propre personne devant le Grand Tribunal où siège à la Droite de Celui qui jugera le monde, un par un, le Fils, ben Elohim, Yahshoua.
L'époque de Paul est propice aux métaphores, époque sportive par les fameux jeux romains dans les arènes, confrontant à la fois esclaves voués à la mort et soldats libres cherchant quelques gloires auprès de leurs supérieurs voire de César en personne. Tous, en entrant dans le cercle de la vie et de la mort, savent que c'est au prix d'une ténacité sans merci qu'ils pourront à nouveau se coucher le soir...vivants. Une sorte de roulette russe...
Ils se battent pour la gloire éphémère des hommes, un titre de César. Paul leur rappelle qu'au-delà de l'horreur de jouer ainsi sa vie, il y a pour les soldats d'Elohim une similitude terrifiante.
Non que le soldat doit jouer sa vie pour des vanités des vanités, mais sa vie est en jeu du fait de son choix de suivre un autre Maître que l'ange de Lumière. Nul ne peut servir deux Maîtres. Faire le choix d'Elohim par le Sang de Yahshoua, inscrit, de facto, le soldat sur la liste noire de l'ennemi, et l'amène à devoir courir dans l'arène sans s'arrêter, au risque de perdre la couronne finale.
Le soldat dans l'arène est aguerri aux maniements des armes. Il a quitté l'école militaire pour rejoindre les rangs des hommes au front. Il est responsable de son armure, à charge pour lui de veiller et d'en user sans modération aucune.
"...Courez donc afin de l'obtenir..."....
Crucial rappel du but de tout soldat de l'Armée d'Elohim Tsébaot. La Couronne de vie peut se perdre à tout instant, pour peu que le soldat décide d'oublier son image dans le miroir, de faire fi des aliments solides procurés par la notice d'utilisation de l'armure, ou pire de ne plus boire régulièrement à la Source de Celui qui désaltère à jamais.
La couronne de Vie, au jour du dernier grand jour, sera apposée sur la tête de celui qui aura remporté le prix dans l'arène. Il est terrifiant de lire la comparaison faite par Paul : UN SEUL remporte le prix...
Est-ce alors peine perdue que de se battre et de tenir jusqu'au bout si au final un seul aura le prix ?
Il faut comprendre ici l'allusion profonde émise par Paul : L'unité d'un seul corps permettra la couronne individuelle de chacun.
Nul ne remportera le prix s'il s'obstine à être soldat sans servir les autres, s'oubliant lui même, pour n'être plus qu'Echad.
A-t-on jamais vu une Armée disloquée gagner le combat ? La force vient de l'unité sans faille, dans le NOM de celui qui Sauve, Yahshoua.
Quand le soldat se met à penser à lui-même , il est coupable de haute trahison, il met en danger le corpus de l'armée , ouvrant une brèche à l'ennemi.
Paul alerte les Corinthiens quant à leurs vies dissolues, leurs discordes et leurs "clans" menant à mal l'oeuvre dans le champ du Père.
Le corps de l'armée doit toujours tendre vers le service de son Roi. Le soldat combat avec la bannière de son Maître , pour son Maître, et non pour lui-même. Il part dans le but de gagner les territoires voulus par son Commandant.
"...Tout lutteur se maîtrise en tout..."
Façon quelque peu directe pour dire aux Corinthiens, sans doute vantards de leur connaissance
"Il ne suffit pas de savoir, d'avoir la connaissance, encore faut-il brider votre chair, votre moi, votre caractère passif, faire et obéir, rester debout ".
La leçon est rude, mais vitale !
La vie du soldat n'a de sens que dans une vie disciplinée , de maîtrise tant de sa chair que de sa vie spirituelle.
Lutter , car là est le sens de toute la vie du soldat d'Elohim, lutter donc, nécessite une volonté guerrière afin d'être chaque jour opérationnel pour son Roi, dans l'action, l'agir. Faute de quoi, le soldat sera réformé:
"Alors je leur déclarerai :
JAMAIS je ne vous ai connus ! Retirez-vous de moi, fauteurs d'anarchie" Mathieu 7:23
Les anarchistes développent leurs idées au sein d'une société sans aucune règle, de lois, d'ordonnances. Ils rejettent toute volonté de réglementation. Ils apparaissent comme des fauteurs de troubles.
Yahshoua rappellera que sa famille est celle qui fait la volonté de Son Père. Mathieu 12:50
Ainsi, en connaissance de cause, Paul annonce la couleur :
"je maltraite mon corps..."
Sans aucun doute, bon nombre des Corinthiens devaient faire passer leur désiderata séculaire bien avant le seul but légitime de tout soldat d'Elohim, celui de le servir en tout point.
Là encore Paul doit les rappeler à la raison. Combattre, servir, nécessite encore et toujours, d'abandonner sa vie, la faire mourir, pour n'être plus qu'un soldat inutile mais oh combien utilisé par le Roi des rois, chef de toutes les armées.
C'est à ce prix, et uniquement à ce prix-là, que le soldat peut être assuré de la victoire. A n'en pas douter, la couronne sera alors pour lui !
mercredi 27 septembre 2017
"...APPRENEZ DE MOI..."
"Prenez sur vous mon joug,
apprenez de moi que je suis humilié et petit de cœur :
vous trouverez le réconfort pour vos êtres.
Oui, mon joug est utile, mon fardeau léger." Mathieu 11:29
Le Soldat d'Elohim Tsébaot, l'Elohim des Armées, traverse des phases de fatigue, de déprime, de lassitude. Nos ancêtres bibliques, ainsi que nos prophètes, sont passés par là, les Ecritures en sont pleines d'exemples.
Le discours de Yahshoua, en Mathieu 11:29, s'inscrit à la suite d'une diatribe sévère à l'encontre des villes qui ont refusé de faire retour alors qu'elles étaient au bénéfice de ses prodiges.
De même, ces versets célèbres , incompris par la majorité des aveugles se disant "sauvés", font suite à la question magistrale de Iohanann l'Immergeur, alors incarcéré, juste avant sa décapitation :
Es-tu celui qui vient ?...
Quel lien entre cette question fondamentale et cette réponse ?
Iohanan n'avait-il pas pris suffisamment de souffrance ? Ce fameux Chemin Etroit ...au point de mourir à lui-même et de n'attendre de la Vie rien d'autre que la Mort celle qui délivre du joug des hommes et du prince des Ténèbres, pour rencontrer l'Elohim de la Vie ?
Yahshoua savait le sort réservé à son cousin, tout comme il connaissait le sien propre. Ben Elohim, fait homme, a traversé; dans la "peau" d'un homme, les affres d'une vie en solitaire.
Incompris, lui qui comprenait mieux que personne les souffrances de chacun, rejeté, lui qui ouvrait ses bras pour aimer, guérir, délivrer, sauver, il a devancé nos émotions à venir, il a porté celles de son cousin, lui montrant la PORTE de sortie, celle qui lui permettra de supporter la décapitation ordonnée par Hérode.
Qui aime son être le perd,
qui hait son être en cet univers le garde pour la vie en pérennité.
Si quelqu'un me sert, qu'il me suive ! Iohana 12:25
"..Prenez mon Joug..."
Cet outil sert à mener en ligne droite le boeuf dans le champ pour faire un CHEMIN ETROIT , rectiligne, capable de recevoir la SEMENCE, la GRAINE qui doit mourir, afin de porter du FRUIT....
Sans le joug, le soldat se retrouve sans guidance, allant au gré de ses pensées , qui ne sont guère celles d'Elohim.
Pour aller de l'avant, l'enfant, ben Elohim, doit impérativement revêtir le Joug de Yahshoua, la feuille de route afin que son cou roide plie l'échine et devienne docile sous la main du Potier. Potier qui va le pétrir pour en faire un vase d'honneur capable de recevoir l'huile Sainte au parfum agréable à Elohim, manifestée par le Ruah, souffle d'Elohim.
Yahshoua sait que le temps imparti à son cousin, Iohanan est compté. Il lui faut une dose supplémentaire de courage, de certitude, d'abnégation, pour ne pas lâcher au moment ultime du dernier combat...la confrontation d'avec la mort.
"..Apprenez de moi que je suis humilié et que j'ai un coeur petit.."
Nulle leçon ne peut être apprise ailleurs que dans la Parole, par celui qui est fils du Créateur des Lumières. Nul ne peut se targuer de traverser les épreuves de la vie , vie au service d'Elohim, si sa force n'est apprise à la source même de celui qui donne l'eau de la vie gratuitement.
Nul ne peut tenir face aux intempéries de l'adhérence si au préalable il n'a puisé son courage dans les yeux de celui qui nous demande d'être comme lui , humilié sans broncher....
Nul ne peut être un digne ambassadeur si son propre cœur est en contraste d'avec celui qui a étouffé son cœur d'homme pour faire vivre le cœur de son Père, insondable en amour, lent à la colère, riche en bonté.
Par cette exhortation Yahshoua envoie dire à Iohanan et à tous ceux qui l'entendent:
"Abandonne tout jusqu'à la mort, accepte l'humiliation d'être enfant d'Elohim dans Ce monde où tu vis, toi qui n'es pas de Ce monde. Alors tu entreras dans ce réconfort inconnu des hommes, mais connu de moi seul et de mon Père, ce réconfort qui fera qu'Etienne s' endormira sous les coups de la haine lapideuse, le sourire aux lèvres, les yeux fixés vers les cieux ouverts..."
Yahshoua conclut en insistant sur le "joug" il le qualifie d'utile . Vain le travail de tout soldat qui s'acharne à travailler sans que son cou soit lié par l'amour et l'OBEISSANCE au Fils, Parole faite chair , comme une directive incontournable , afin que le rendu de son oeuvre soit tout à la gloire du Père.
Le chemin étroit demande le volontariat du soldat pour que, de l'état de liberté rendu par le sacrifice ultime du fils, il devienne comme Paul, esclave volontaire dans la Main de son Créateur.
Le brisement ...le joug utile devient l'arme de défense absolue face à l'ennemi.
Ne frémissez pas des tueurs du corps qui ne peuvent tuer l'être, mais frémissez de qui peut perdre et corps et être dans la Géhenne. Mathieu 10: 28
Ne crains pas toi, Soldat qui sert Yahshoua et qui le suit. La mort m'est un gain disait Paul. De même le Joug Utile du Ben Elohim, est nécessairement léger , il rend le service dans le Champ du Père doux et agréable. Il permet de traverser la fatigue et le découragement, liés au service dans le champ d'Adonaï, de façon calme et tranquille...
C'est dans le calme et la confiance que sera votre force....Esaï 30:15
SHALOM AUX DISCIPLES DE YAHSHOUA
Me voici , au bout de 7 années bientôt (7 octobre 2007) de la création du blog de FilledeRoi, à une nouvelle étape dans le champ du Père.
L'ouverture de ce nouveau blog, répond à une commande de notre Abba. Il est dédié toute à sa Gloire, uniquement pour les Vrais Enfants d'Elohim, les disciples, ceux qui suivent le Chemin Etroit , ayant dépouillé leur vie du "moi" , manifestant la Vie de Yahshoua en Eux.
Ici sera donc déposé, au fur et à mesure des jours, de la nourriture solide, avec des échanges possible, en ligne, loin des débats oisifs menant aux disputes.
La communauté des Enfants d'Elohim, les Ben Elohim par le Sang de Ben Yahshoua, pourra s'exprimer dans et uniquement dans le respect de la Parole, les Ecritures faisant Foi jouant le Garde Fou de toutes dérives.
Tout commentaire indigne du statut d'Ambassadeur de Yahshoua pour la Gloire d'Elohim, ne sera tout simplement pas mis en ligne.
Les questions sont permises si d'aventure le Souffle ne révèle pas de piège et/ou de coup tordu comme bon nombre savent le faire.
Sur le premier blog, le Ruah m'a montré à chaque fois, les loups déguisés , ceux qui viennent avec l'intention de nuire et d'obtenir matière à tuer. Je ne doute aucunement qu'ici il en sera de même.
Les temps sont courts, il en résulte qu'ici les choses ont comme but de favoriser non la consommation des assistés d'hommes et de femmes non faits, immatures et autres espèces pullulant de tous bords, mais bel et bien le grandissement et la consolidation des soldats d'Adonaï Tsébaot, le Chef des Armées.
Ici, nous sommes entre Soldats , enfants OBÉISSANTS dans l'ACTION , dans le champ du Père.
Forcément qu'il n'y aura pas foule selon ce que Yahshoua a dit :
"La moisson est grande MAIS il y a peu d'ouvriers"....Luc 10:2
L'ouverture de ce nouveau blog, répond à une commande de notre Abba. Il est dédié toute à sa Gloire, uniquement pour les Vrais Enfants d'Elohim, les disciples, ceux qui suivent le Chemin Etroit , ayant dépouillé leur vie du "moi" , manifestant la Vie de Yahshoua en Eux.
Ici sera donc déposé, au fur et à mesure des jours, de la nourriture solide, avec des échanges possible, en ligne, loin des débats oisifs menant aux disputes.
La communauté des Enfants d'Elohim, les Ben Elohim par le Sang de Ben Yahshoua, pourra s'exprimer dans et uniquement dans le respect de la Parole, les Ecritures faisant Foi jouant le Garde Fou de toutes dérives.
Tout commentaire indigne du statut d'Ambassadeur de Yahshoua pour la Gloire d'Elohim, ne sera tout simplement pas mis en ligne.
Les questions sont permises si d'aventure le Souffle ne révèle pas de piège et/ou de coup tordu comme bon nombre savent le faire.
Sur le premier blog, le Ruah m'a montré à chaque fois, les loups déguisés , ceux qui viennent avec l'intention de nuire et d'obtenir matière à tuer. Je ne doute aucunement qu'ici il en sera de même.
Les temps sont courts, il en résulte qu'ici les choses ont comme but de favoriser non la consommation des assistés d'hommes et de femmes non faits, immatures et autres espèces pullulant de tous bords, mais bel et bien le grandissement et la consolidation des soldats d'Adonaï Tsébaot, le Chef des Armées.
Ici, nous sommes entre Soldats , enfants OBÉISSANTS dans l'ACTION , dans le champ du Père.
Forcément qu'il n'y aura pas foule selon ce que Yahshoua a dit :
"La moisson est grande MAIS il y a peu d'ouvriers"....Luc 10:2
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