Moshé répondit au peuple :" Soyez sans crainte ! Attendez, et vous serez témoins de l'assistance que YHWH vous procurera en ce jour ! Certes, si vous avez vu les Egyptiens aujourd'hui vous ne les reverrez plus jamais.
YHWH combattra pour vous; et vous, tenez vous tranquilles !" Shemot (Exode) 14:14
Nous voici au cœur de l’événement le plus important du deuxième livre de la Torah. C'est ici que se joue prophétiquement la délivrance , Yahshoua, du peuple hébreu. Délivrance au lieu dit Baal-Cefon, lieu maudit, vénéré par les Egyptiens, un baal, un maître représentant la divinité suprême du deuxième ciel....
C'est précisement à cet endroit là que YHWH, nommé par son nom de Chef des Armées et non Adonaï ni Elohim, que le Créateur de l'Univers , de toutes choses, va se confronter en première instance au Malin , incarné par Pharaon, mi-dieu mi-homme.
Pour ce faire, YHWH utilisera son homme de main..., Moshé, préfigure du Mashiah à venir, purifié des eaux du Nil, tout comme Yahshoua en son temps sera purifié par les eaux du Jourdain.
Moshé , cependant doit faire face à une grande foule...une multitude , tout comme lors du régime de l'impie à venir, la grande foule devra faire un choix cruciale : Retourner vers l'esclavage de Baal-Cefon ou accepter de mourir en suivant le Mashiah. Ultime épisode qui se rapproche de notre temps actuel.
Moshé n'est guère un sur-homme, il suffit de lire son histoire pour se rendre compte que son impulsivité , à l'image d'un certain Pierre , disciple de Yahshoua, va l'amener à fuir dans le désert, lieu où lui apparaîtra Elohim dans un buisson de feu, buisson se situant dans la zone de travail de Moshé.
La similitude d'avec Pierre est saisissante, c'est sur son lieu de travail , isolé , que Pierre recevra la "visite" de Yahshoua, celui qui délivre, pour lui demander de "paître" son peuple....
Moshé doit se battre déjà pour lui-même. Pharaon, et sa cohorte, est à ses trousses...Révélation nous prédit que l'impie sous les traits du dragon, poursuivra l'épouse fidèle jusque dans le désert...
Rien de nouveau sous le soleil ! Ce qui a été sera, et nous revivrons les mêmes événements que Moshé tournant le dos aux troupes de l'ennemi pour lever son bâton de la foi, attendant l'ultime délivrance.
Cependant , dans ses oreilles, tombent les complaintes d'une multitude, pour ne pas dire de 600 000 âmes, lui reprochant un supposé échec, et une mort, aux yeux humains, certaine.
Moshé , rempli du Ruah, couvre la multitude avec force et autorité. C'est que Moshé ne s'en laisse plus conter ! Avec audace et fermeté il les rappelle à l'ordre :
Attendez !
La débandade a sans doute commencé, Moshé hurle "attendez" ! Mieux, il les rassure
"Soyez sans crainte"...
Soit Moshé est un futuriste du genre sans crainte et sans reproche, soit Moshé connaît son Elohim...Il a sans conteste la peur qui s'attache aussi à ses pensées, sauf que Moshé est un exemple ! Il doit combattre sa propre crainte et calmer celle des autres ! L'on ne peut que constater que, parmi les 600 000 hommes, personne ne s'est soucié si Moshé avait peur...
De nos jours il est effarant de constater le nombre de gens candidats à la "consommation spirituelle" et si peu, voire si rare, au poste de Moshé, celui qui se soucie des autres sans penser à lui-même...
L'exemple de Moshé n'a pas pour but d'élever un homme au-dessus des autres, mais bien de nous faire comprendre que nous sommes tous confrontés au même choix qui s'est présenté à Moshé : soit nous faisons partie de la grande foule qui tente de s'enfuir au premier combat, et voudrait retourner direct vers ce qu'elle a vomi, soit nous faisons partie du reste qui sait affronter les dangers et mener les combats, quoiqu'il en coûte.
Néanmoins force est de constater que Moshé ne travaille pas pour sa propre crémière, il ne pense pas à sauver sa peau , mais celles des autres. Le don de soi pour faire vivre ses biens-aimés. Amour ultime , preuve actée que sa rencontre au buisson Ardent , feu qui dévore les scories et fait du repentant un véritable disciple.
Avant de partir au combat, Moshé prend le temps de consoler , de restaurer, de rassurer le peuple ingrat et sans volonté aucune. Il rassemble les troupes, calme les craintes, et rappelle une nième fois que YHWH combattra pour eux !
Il est intéressant de relever une mauvaise traduction dans les méandres existants , à savoir que le mot "silence" a remplacé le fondamental " tranquilles" ! Moshé fait plus que de leur intimer l'ordre de se taire, il les rappelle à la raison, calme leur agitation, et fait revenir ceux qui rebroussent chemin.
N'avons-nous pas cette propension à trouver rapidement une parade quand l'angoisse nous saisit, quand les vents sont contraires ? Ne faisons-nous pas acte de rébellion quand nous battons en retraite, quand nous capitulons ?
L'histoire de Jonas en est l'exemple le plus significatif....
La parade de Moshé fait mouche, il place YHWH au centre de son discours : YHWH combattra pour vous.
Il ne doute de rien notre homme ! En effet comment croire que Cébaot le chef des Armées, va accepter de se lever pour un peuple qui ne fait que gémir, se plaindre et qui plus est, préfère l'esclavage à la liberté ?
Moshé a eu la révélation du plan entier, millénaire, d'Elohim pour l'humanité. Il sait que ce n'est pas seulement la vie de 600 000 âmes qui est en jeu, mais le Royaume à venir avec la réconciliation de YHWH et de toute l'humanité, pour ceux et celles qui veulent bien être affranchis et du péché et de l'esclavage à pérennité.
Moshé ne s'adresse pas uniquement à la grande foule de son temps, il s'adresse à toute l'humanité de la part d'Elohim:
Tenez vous tranquilles ! Attendez... Soyez sans crainte...Je vais combattre pour vous !
Face à Baal-Céfon l'enjeu est énorme : Est-ce que les hommes vont accepter la main tendue de YHWH ou est-ce qu'ils vont choisir comme Maître celui qui viendra en son temps, après Juda, investir l'impie pour mener l'ultime guerre Sainte contre Yahshoua HaMashiah ?
Qui a compris qu'ici la confrontation des mondes spirituels n'est qu'une bataille avant la guerre finale ?
Qui a saisi que l'histoire de Moshé nous implique toutes et tous personnellement dans les choix de nos vies chaque jour ?
Qui a fait retour définitivement pour pouvoir dire à son tour aux autres "soyez sans crainte, attendez, YHWH combattra pour vous, tenez vous tranquilles" ?
Qui par sa vie au quotidien, a quitté l'impulsivité pour démontrer par ses actes qu'il, elle, sait rester tranquille, en attendant que YHWH combatte pour lui, pour elle ?
C'est bien le message laissé par Shemot- il appela- au chapitre 14 verset 14 ! Un rappel de la Torah complète puisque 14 = 1+4 =5..tout comme le verset 14 . Le chiffre 5 étant la référence aux 5 livres de la Parole faite Chair, la Torah ! Tout est dit, tout sera accompli...
Il appela la Torah, Parole Faite Chair, complètement dans la vie de toutes et tous, leur disant que jusqu'au bout Il sera avec nous jusqu'à la fin, combattant pour nous, pour peu que nous soyons sans crainte, ne doutant jamais, restant tranquille , loin des agitations et de la tentation de chercher secours dans ce monde.
mercredi 22 novembre 2017
jeudi 16 novembre 2017
"ALORS VOUS VOUS SOUVIENDREZ..."
Alors, vous vous souviendrez de vos voies perverses et de vos œuvres peu louables, et vous aurez le dégoût de vous-mêmes, à cause de vos péchés et de vos abominations. Ezechiel 36:31
Pour parfaire la compréhension de ce verset il s'agit ici de prendre la lecture du texte dès le verset 22 et ce, jusqu'à la fin du chapitre.
Le lecteur avisé comprendra de suite qu'il est fait mention du temps du Millénium puisque le prophète parle du grand rassemblement d'une part et d'autre part des villes dévastées et reconstruites, même plus, repeuplées.
Or la question sous-jacente vise à résoudre une équation quelque peu étrange :
Comment le disciple en Yahshoua pourrait-il vivre son adhérence en toute justice s'il lui faut attendre le millénium pour voir acter le changement de son cœur de pierre en un cœur de chair ?
La Parole éclairant toujours la Parole, la seconde lecture par le Ruah nous rappelle les propos tenus par Paul aux Corinthiens quand il affirme :
"Vous êtes manifestement une lettre du Mashiah procurée par nous non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, les cœurs." 2 Corinthiens 3:3
L'élément central manquant nous oblige à revenir aux Tables de la Torah, écrite par le Doigt d'Elohim en personne, rappelées par David quand il chante :
Les justes posséderont la terre, et ils y habiteront pour toujours. La bouche du Juste profère la sagesse, et sa langue énonce le droit.
La Torah de son Eloha est dans son cœur, ses pas ne chancellent point. Tehilim 37/31
Elohim grave dans un cœur de Chair les Tables de sa Torah, pour peu que nous prenions en dégoût nos vies de péchés. Cela se nomme la Repentance, Faire Retour.
Ceux qui seront trouvés "endormis" en Yahshoua, la première mort, ressusciteront en premier suivis par les "échappés" du régime de la Terrer mené par l'impie. En un clin d’œil les corps seront changés, glorifiés à la Gloire d'Adonaï, partant à la rencontre dans les airs du Mashiah, Mashiah qui va poser ses deux pieds sur le Mont Sion.
S'en suivra un magistral séisme mondial, un bouleversement inédit, provoquant la ruine et le désastre des villes et des édifices, rien ne résistera, tout sera à reconstruire.
Dans ce chaos surgiront des "survivants", les fameuses nations qui devront monter, par délégation, à chaque Fête de Souccoth, et à chaque début de mois, pour adorer le seul NOM qui soit, à savoir Elohim et chercher les fruits aux vertus médicinales pour guérir des fautes mensuelles.
Ezechiel avertit que ce qui a été sera, ce que le juste doit vivre en Yahshoua, la repentance, la conviction de péché dans les larmes, sera de mise au jour de la reconstruction millénaire pour ceux qui feront la transition entre le monde d'Avant et le monde d'Après. rien de nouveau sous le soleil tant que cette terre sera de cet univers....
Nul ne pourra bénéficier d'un rassemblement vers la Terre d'Israël si son cœur n'a pas été brisé par la conviction de péché. Une étape que peu vivent, et que beaucoup occultent en passant allègrement d'une ignorance de la Parole à une vie sous l'effigie du Maître.
En sommes ils sont entrés par la fenêtre et ne connaissent pas la Porte étroite, ils sont à côté du Chemin Etroit.
Mon oreille avait entendu parler de toi....
Certes, mais l’œil n'a toujours pas vu la Grâce qui fait que l'on se retrouve dégoûté de son péché au point de ne pouvoir se relever. Il faudra la Main du Père par le Sang du Fils pour changer le cœur de pierre, cette table vile, en un cœur de chair traduit en hébreu par le même mot que "viande" : Bassar !
La viande qui sert de sacrifice, d'holocauste se retrouve de fait être le nouveau cœur que le justifié en Yahshoua a et doit posséder. Son cœur ne pourra être sanctifié ni reconnu par Elohim que si le préalable d'un sacrifice volontaire, à l'image d'Abraham pour son fils, est acté.
L'intellectualisme, voire le mimétisme, amène bon nombre de gens à se croire sauvés alors qu'ils sont toujours en périphérie du Royaume à venir. La délivrance ne s'invente pas, elle se vit réellement passant obligatoirement par le tour du Potier. Le brisement.
Paul fait état de l'amour, fruit qui résulte de la transformation par la repentance, il prend le temps de le décrire en 1 Corinthiens 13 mais là encore nul ne peut agir sans avoir au préalable abandonné son cœur de pierre, l'avoir déposé sur l'Autel du Sacrifice.
Croire que l'on a un cœur de chair, sacrifié au Père, sans porter les fruits de l'Amour acté vers les autres est un leurre, un voile sur les yeux, une tromperie qui trouve sa source chez Mamon.
Le temps du Maintenant résonne encore plus fort, chaque jour qui passe, comme le shofar céleste, appelant à l'humilité, forçant les portes blindées des entrailles des hommes, voulant que le méchant reconnaisse son état désastreux, afin de lui délivrer un cœur de chair, digne de tout sacrifice.
Vient le temps où la circoncision de cœur sera vérifiée par l'Avocat Yahshoua devant la Cour Suprême. Le verdict tombera sans appel possible, alors nous serons connus comme nous le sommes réellement c'est-à-dire croyant être justifiés mais pour beaucoup juste bons à être jetés au feu comme la paille d'un été éphémère.
Alors nous nous souviendrons de nos voies perverses...et de nos œuvres peu louables....
Rien ne sert de les cacher maintenant, elles sont collées à notre cœur pierreux pour peu que nous n'ayons pas encore vécu la repentance, celle qui fait que l'on est terrassé par qui nous sommes réellement.
Si nous n'avons jamais vécu le "dégoût de nous-mêmes" il est certain que nous avons toujours un cœur de pierre, inapte à aimer, incapable de la moindre compassion.
Ceci expliquant cela....
Rachetons le temps, il est mauvais; vient le Temps du "Maintenant" et du "Trop tard".
Pour parfaire la compréhension de ce verset il s'agit ici de prendre la lecture du texte dès le verset 22 et ce, jusqu'à la fin du chapitre.
Le lecteur avisé comprendra de suite qu'il est fait mention du temps du Millénium puisque le prophète parle du grand rassemblement d'une part et d'autre part des villes dévastées et reconstruites, même plus, repeuplées.
Or la question sous-jacente vise à résoudre une équation quelque peu étrange :
Comment le disciple en Yahshoua pourrait-il vivre son adhérence en toute justice s'il lui faut attendre le millénium pour voir acter le changement de son cœur de pierre en un cœur de chair ?
La Parole éclairant toujours la Parole, la seconde lecture par le Ruah nous rappelle les propos tenus par Paul aux Corinthiens quand il affirme :
"Vous êtes manifestement une lettre du Mashiah procurée par nous non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, les cœurs." 2 Corinthiens 3:3
L'élément central manquant nous oblige à revenir aux Tables de la Torah, écrite par le Doigt d'Elohim en personne, rappelées par David quand il chante :
Les justes posséderont la terre, et ils y habiteront pour toujours. La bouche du Juste profère la sagesse, et sa langue énonce le droit.
La Torah de son Eloha est dans son cœur, ses pas ne chancellent point. Tehilim 37/31
Elohim grave dans un cœur de Chair les Tables de sa Torah, pour peu que nous prenions en dégoût nos vies de péchés. Cela se nomme la Repentance, Faire Retour.
Ceux qui seront trouvés "endormis" en Yahshoua, la première mort, ressusciteront en premier suivis par les "échappés" du régime de la Terrer mené par l'impie. En un clin d’œil les corps seront changés, glorifiés à la Gloire d'Adonaï, partant à la rencontre dans les airs du Mashiah, Mashiah qui va poser ses deux pieds sur le Mont Sion.
S'en suivra un magistral séisme mondial, un bouleversement inédit, provoquant la ruine et le désastre des villes et des édifices, rien ne résistera, tout sera à reconstruire.
Dans ce chaos surgiront des "survivants", les fameuses nations qui devront monter, par délégation, à chaque Fête de Souccoth, et à chaque début de mois, pour adorer le seul NOM qui soit, à savoir Elohim et chercher les fruits aux vertus médicinales pour guérir des fautes mensuelles.
Ezechiel avertit que ce qui a été sera, ce que le juste doit vivre en Yahshoua, la repentance, la conviction de péché dans les larmes, sera de mise au jour de la reconstruction millénaire pour ceux qui feront la transition entre le monde d'Avant et le monde d'Après. rien de nouveau sous le soleil tant que cette terre sera de cet univers....
Nul ne pourra bénéficier d'un rassemblement vers la Terre d'Israël si son cœur n'a pas été brisé par la conviction de péché. Une étape que peu vivent, et que beaucoup occultent en passant allègrement d'une ignorance de la Parole à une vie sous l'effigie du Maître.
En sommes ils sont entrés par la fenêtre et ne connaissent pas la Porte étroite, ils sont à côté du Chemin Etroit.
Mon oreille avait entendu parler de toi....
Certes, mais l’œil n'a toujours pas vu la Grâce qui fait que l'on se retrouve dégoûté de son péché au point de ne pouvoir se relever. Il faudra la Main du Père par le Sang du Fils pour changer le cœur de pierre, cette table vile, en un cœur de chair traduit en hébreu par le même mot que "viande" : Bassar !
La viande qui sert de sacrifice, d'holocauste se retrouve de fait être le nouveau cœur que le justifié en Yahshoua a et doit posséder. Son cœur ne pourra être sanctifié ni reconnu par Elohim que si le préalable d'un sacrifice volontaire, à l'image d'Abraham pour son fils, est acté.
L'intellectualisme, voire le mimétisme, amène bon nombre de gens à se croire sauvés alors qu'ils sont toujours en périphérie du Royaume à venir. La délivrance ne s'invente pas, elle se vit réellement passant obligatoirement par le tour du Potier. Le brisement.
Paul fait état de l'amour, fruit qui résulte de la transformation par la repentance, il prend le temps de le décrire en 1 Corinthiens 13 mais là encore nul ne peut agir sans avoir au préalable abandonné son cœur de pierre, l'avoir déposé sur l'Autel du Sacrifice.
Croire que l'on a un cœur de chair, sacrifié au Père, sans porter les fruits de l'Amour acté vers les autres est un leurre, un voile sur les yeux, une tromperie qui trouve sa source chez Mamon.
Le temps du Maintenant résonne encore plus fort, chaque jour qui passe, comme le shofar céleste, appelant à l'humilité, forçant les portes blindées des entrailles des hommes, voulant que le méchant reconnaisse son état désastreux, afin de lui délivrer un cœur de chair, digne de tout sacrifice.
Vient le temps où la circoncision de cœur sera vérifiée par l'Avocat Yahshoua devant la Cour Suprême. Le verdict tombera sans appel possible, alors nous serons connus comme nous le sommes réellement c'est-à-dire croyant être justifiés mais pour beaucoup juste bons à être jetés au feu comme la paille d'un été éphémère.
Alors nous nous souviendrons de nos voies perverses...et de nos œuvres peu louables....
Rien ne sert de les cacher maintenant, elles sont collées à notre cœur pierreux pour peu que nous n'ayons pas encore vécu la repentance, celle qui fait que l'on est terrassé par qui nous sommes réellement.
Si nous n'avons jamais vécu le "dégoût de nous-mêmes" il est certain que nous avons toujours un cœur de pierre, inapte à aimer, incapable de la moindre compassion.
Ceci expliquant cela....
Rachetons le temps, il est mauvais; vient le Temps du "Maintenant" et du "Trop tard".
jeudi 9 novembre 2017
" ADOREZ ADONAI AVEC CRAINTE ET REJOUISSEZ VOUS AVEC TREMBLEMENT"
Pourquoi se démènent les peuples, et les nations agitent-elles de vains projets?
Les rois de la terre se soulèvent, les princes se liguent ensemble contre l’Adonaï et son oint.
"Brisons [disent-ils] leurs liens. Rejetons loin de nous leurs chaînes!"
Celui qui réside dans les cieux en rit, le Seigneur se raille d’eux.
Puis il les apostrophe dans sa colère et, dans son courroux, il les terrifie:
"C’est moi [dit-il] qui ai consacré mon roi sur Sion, ma montagne sainte!"
Je veux proclamer ce qui est une loi immuable: "L’Adonaï m’a dit: Tu es mon fils, c’est moi qui, aujourd’hui, t’ai engendré!
Demande-le-moi, et je te donnerai des peuples comme héritage, les confins de la terre pour domaine.
Tu les briseras avec un sceptre de fer, tu les broieras comme un vase de potier."
Et maintenant, ô rois, sachez comprendre, tenez-vous pour avertis, juges de la terre!
Adorez l’Adonaï avec crainte, et réjouissez-vous [en Elohim] avec tremblement.
Rendez hommage au fils, de peur qu’il ne s’indigne, et que vous n’alliez a votre perte; car bien vite sa colère prend feu: heureux tous ceux qui s’abritent en lui!
Tehilim 2
David prophétise plus qu'il n'écrit, poussé par le Ruah.
L'ensemble des Tehilim est une allégorie de toute l'œuvre de la Création depuis l'avant de la mise en forme de notre planète jusqu'à la rédemption finale du Fils Ben Elohim, Yahshoua HaMashiah.
Après le Tehilim 1, qui se veut être une introduction au 150 messages prophétiques, introduction destinée aux enfants et aux soldats d'Adonaï Cebaot , le chef des armées, la couleur est donnée d'emblée par le chapître 2 : Tout repose sur la reconnaissance du Fils.
David annonce l'existence du Fils...il va plus loin, sous l'inspiration du Souffle, il fait le comparatif du sort des rois, issus des hommes et du Roi sacré, celui a qui l'hommage doit être rendu.
Lui le Mélek (roi) désigné par Elohim, s'inscrit dans une humilité voulue et reconnue , il place avant lui le Fils, le seul Mélek digne de reconnaissance. Sublime témoignage pour les temps modernes où se gaussent sur estrade et autre piédestal des "conducteurs" tant politiques que religieux de tous bords, s'évertuant à chercher une renommée étiquetée à qui mieux mieux, par des dénominations à banderoles gravées dans le sable (pierre et béton)....La tempête soufflera sur tous les édifices faits de mains d'homme; aucun ne résistera, la prophétie du Mashiah s'accomplira en temps et en heure.
La rhétorique de David pousse à la méditation. Le titre de roi n'est pas l'apanage d'un titre honorifique , politique ou gouvernementale. Il revêt la position de tout un chacun dès lors que l'être humain , là où sa posture se révèle plus imposante que la norme, joue à l'artiste en haut de l'affiche.
La Parole parle de l'enfant Roi....De même elle prévient des temps de la fin où la jeunesse sera arrogante, irrespectueuse, n'honorant guère ses parents et encore moins ses congénères.
Dès le Tehilim 2, le Ruah avertit de l'importance de ne pas se placer en haut de l'affiche et encore moins, en tant que parents, responsable, adulte à quelque niveau que ce soit, de laisser son prochain prendre la place du seul Roi qui soit digne d'hommage, Yahshoua.
Laisser l'enfant dans un délire de confrontation avec l'adulte le met indéniablement dans une posture de Roi. Il sera brisé par "un sceptre de fer, broyé comme un vase de potier".
Laisser nos bien-aimés , adultes ou non, s'assoire sur un trône royal contribue à bien des épreuves dans le futur, épreuves qui auraient et qui pourraient être largement évitées.
Des le second verset, il est question du Oint de l'Adonaï. La planète, sous l'effigie du prince des Ténèbres, complote contre la Seule Royauté qui soit, mettant l'homme à la place du Calife, le faisant "Elohim" à la place d'Elohim.
La seul loi Immuable qui excelle en matière de Vérité, repose sur l'engendrement du Fils par Elohim. Il a été placé au-dessus de ses compagnons nous révèle ailleurs la Parole. Vouloir un roi dans sa famille, au sein de ses enfants, vouloir un roi dans sa communauté au sein de la qehila, revient à renier le Fils engendré, celui à qui toute la terre doit rendre hommage.
Et maintenant....
Cela sonne comme un ultimatum, pour chacun d'entre nous. Le temps est lié au Maintenant. Point demain ni dans un futur lointain. Cet avertissement se retrouve dans 2 Corinthiens 6:2
"c'est Aujourd'hui le temps du Salut" salut qui signifie Délivrance....
La délivrance mot plus ajusté et plus vrai que salut, puisque Yahshoua signifie YHWH sauve, délivre, la délivrance donc ne peut conduire à la réjouissance que si elle nous dépouille auparavant de toute tendance, volonté, soit à régner, soit à se laisser diriger par un autre mélek que le seul Mélek légitime, Le Mashiah.
La venue de l'impie séparera le grain de l'ivraie. Elle révèlera ceux qui ont la propension à régner, comme ceux qui ont fait le choix de docteurs dispensant des choses agréables à leurs oreilles, de ceux qui seront identifiés comme brebis isolées, tondues et malades , et qui ont pris le parti d'être errantes en attendant le seul Berger digne de leur hommage.
Tout un programme ...
Ainsi l'ordre de David dans ce Tehilim de "d'Adorer avec crainte et de se réjouir avec tremblement" prend tout son sens.
L'appel à l'adoration doit se faire avec circonspection, sérieux . Il est besoin de procéder avec élimination. Quel Roi adorons nous ? Dans quel assemblée, communauté suis-je ? autant d'éléments à sonder avant de se lancer dans l'adoration pour peu que parmi les participants se cachent de faux rois voire des moutons de panurge vivant par procuration, adorant la créature plutôt que le Créateur.
L'impie rassemblera un ramassis de moutons , adorant la création, choisissant eux même leur propre roi, l'histoire se répètera une nième fois puis viendra la fin.
Adorer avec crainte appelle le disciple à " sortir du milieu d'elle " , de cet espace-temps humanisé , inscrit dans un processus babylonien. L'adoration se veut et se doit craintive, il s'agit de se présenter devant le Saint Trône dans le lieu Très Saint, lieu qui nous vaudrait la mort instantanée si notre médiateur, Yahshoua, avocat de nos vies, ne siégeait pas à la droite du Père, intercédant pour nous à chaque fois que nous osons nous présenter devant le Roi suprême....L'histoire d'Esther vient donner une forte couleur à nos audaces.
Adorer n'a guère de parenté avec l'exaltation fébrile ou une quelconque ambiance de festivité charnelle. Adorer s'inscrit dans une position de respect, d'allégeance, de soumission.
Première étape avant d'enclencher une réjouissance, réjouissance qui se fait dans le tremblement parce que nous avons osé nous approcher de notre Abba , Père , papa, par le voile déchiré, ce qui n'enlève en rien la suprématie d'Elohim qui ne peut et ne pourra jamais nous regarder qu'à travers le sang de son Fils.
Ne pas l'oublier est un gage de survie et de bonheur !
Les rois de la terre se soulèvent, les princes se liguent ensemble contre l’Adonaï et son oint.
"Brisons [disent-ils] leurs liens. Rejetons loin de nous leurs chaînes!"
Celui qui réside dans les cieux en rit, le Seigneur se raille d’eux.
Puis il les apostrophe dans sa colère et, dans son courroux, il les terrifie:
"C’est moi [dit-il] qui ai consacré mon roi sur Sion, ma montagne sainte!"
Je veux proclamer ce qui est une loi immuable: "L’Adonaï m’a dit: Tu es mon fils, c’est moi qui, aujourd’hui, t’ai engendré!
Demande-le-moi, et je te donnerai des peuples comme héritage, les confins de la terre pour domaine.
Tu les briseras avec un sceptre de fer, tu les broieras comme un vase de potier."
Et maintenant, ô rois, sachez comprendre, tenez-vous pour avertis, juges de la terre!
Adorez l’Adonaï avec crainte, et réjouissez-vous [en Elohim] avec tremblement.
Rendez hommage au fils, de peur qu’il ne s’indigne, et que vous n’alliez a votre perte; car bien vite sa colère prend feu: heureux tous ceux qui s’abritent en lui!
Tehilim 2
L'ensemble des Tehilim est une allégorie de toute l'œuvre de la Création depuis l'avant de la mise en forme de notre planète jusqu'à la rédemption finale du Fils Ben Elohim, Yahshoua HaMashiah.
Après le Tehilim 1, qui se veut être une introduction au 150 messages prophétiques, introduction destinée aux enfants et aux soldats d'Adonaï Cebaot , le chef des armées, la couleur est donnée d'emblée par le chapître 2 : Tout repose sur la reconnaissance du Fils.
David annonce l'existence du Fils...il va plus loin, sous l'inspiration du Souffle, il fait le comparatif du sort des rois, issus des hommes et du Roi sacré, celui a qui l'hommage doit être rendu.
Lui le Mélek (roi) désigné par Elohim, s'inscrit dans une humilité voulue et reconnue , il place avant lui le Fils, le seul Mélek digne de reconnaissance. Sublime témoignage pour les temps modernes où se gaussent sur estrade et autre piédestal des "conducteurs" tant politiques que religieux de tous bords, s'évertuant à chercher une renommée étiquetée à qui mieux mieux, par des dénominations à banderoles gravées dans le sable (pierre et béton)....La tempête soufflera sur tous les édifices faits de mains d'homme; aucun ne résistera, la prophétie du Mashiah s'accomplira en temps et en heure.
La rhétorique de David pousse à la méditation. Le titre de roi n'est pas l'apanage d'un titre honorifique , politique ou gouvernementale. Il revêt la position de tout un chacun dès lors que l'être humain , là où sa posture se révèle plus imposante que la norme, joue à l'artiste en haut de l'affiche.
La Parole parle de l'enfant Roi....De même elle prévient des temps de la fin où la jeunesse sera arrogante, irrespectueuse, n'honorant guère ses parents et encore moins ses congénères.
Dès le Tehilim 2, le Ruah avertit de l'importance de ne pas se placer en haut de l'affiche et encore moins, en tant que parents, responsable, adulte à quelque niveau que ce soit, de laisser son prochain prendre la place du seul Roi qui soit digne d'hommage, Yahshoua.
Laisser l'enfant dans un délire de confrontation avec l'adulte le met indéniablement dans une posture de Roi. Il sera brisé par "un sceptre de fer, broyé comme un vase de potier".
Laisser nos bien-aimés , adultes ou non, s'assoire sur un trône royal contribue à bien des épreuves dans le futur, épreuves qui auraient et qui pourraient être largement évitées.
Des le second verset, il est question du Oint de l'Adonaï. La planète, sous l'effigie du prince des Ténèbres, complote contre la Seule Royauté qui soit, mettant l'homme à la place du Calife, le faisant "Elohim" à la place d'Elohim.
La seul loi Immuable qui excelle en matière de Vérité, repose sur l'engendrement du Fils par Elohim. Il a été placé au-dessus de ses compagnons nous révèle ailleurs la Parole. Vouloir un roi dans sa famille, au sein de ses enfants, vouloir un roi dans sa communauté au sein de la qehila, revient à renier le Fils engendré, celui à qui toute la terre doit rendre hommage.
Et maintenant....
Cela sonne comme un ultimatum, pour chacun d'entre nous. Le temps est lié au Maintenant. Point demain ni dans un futur lointain. Cet avertissement se retrouve dans 2 Corinthiens 6:2
"c'est Aujourd'hui le temps du Salut" salut qui signifie Délivrance....
La délivrance mot plus ajusté et plus vrai que salut, puisque Yahshoua signifie YHWH sauve, délivre, la délivrance donc ne peut conduire à la réjouissance que si elle nous dépouille auparavant de toute tendance, volonté, soit à régner, soit à se laisser diriger par un autre mélek que le seul Mélek légitime, Le Mashiah.
La venue de l'impie séparera le grain de l'ivraie. Elle révèlera ceux qui ont la propension à régner, comme ceux qui ont fait le choix de docteurs dispensant des choses agréables à leurs oreilles, de ceux qui seront identifiés comme brebis isolées, tondues et malades , et qui ont pris le parti d'être errantes en attendant le seul Berger digne de leur hommage.
Tout un programme ...
Ainsi l'ordre de David dans ce Tehilim de "d'Adorer avec crainte et de se réjouir avec tremblement" prend tout son sens.
L'appel à l'adoration doit se faire avec circonspection, sérieux . Il est besoin de procéder avec élimination. Quel Roi adorons nous ? Dans quel assemblée, communauté suis-je ? autant d'éléments à sonder avant de se lancer dans l'adoration pour peu que parmi les participants se cachent de faux rois voire des moutons de panurge vivant par procuration, adorant la créature plutôt que le Créateur.
L'impie rassemblera un ramassis de moutons , adorant la création, choisissant eux même leur propre roi, l'histoire se répètera une nième fois puis viendra la fin.
Adorer avec crainte appelle le disciple à " sortir du milieu d'elle " , de cet espace-temps humanisé , inscrit dans un processus babylonien. L'adoration se veut et se doit craintive, il s'agit de se présenter devant le Saint Trône dans le lieu Très Saint, lieu qui nous vaudrait la mort instantanée si notre médiateur, Yahshoua, avocat de nos vies, ne siégeait pas à la droite du Père, intercédant pour nous à chaque fois que nous osons nous présenter devant le Roi suprême....L'histoire d'Esther vient donner une forte couleur à nos audaces.
Adorer n'a guère de parenté avec l'exaltation fébrile ou une quelconque ambiance de festivité charnelle. Adorer s'inscrit dans une position de respect, d'allégeance, de soumission.
Première étape avant d'enclencher une réjouissance, réjouissance qui se fait dans le tremblement parce que nous avons osé nous approcher de notre Abba , Père , papa, par le voile déchiré, ce qui n'enlève en rien la suprématie d'Elohim qui ne peut et ne pourra jamais nous regarder qu'à travers le sang de son Fils.
Ne pas l'oublier est un gage de survie et de bonheur !
lundi 6 novembre 2017
" TOUTE PLANTE QUE MON PERE N'A PAS PLANTEE SERA DERACINEE."
"Toute plante que mon Père dans les ciels n'aura pas plantée sera déracinée. Laissez-les ! Ils sont des guides aveugles, et quand un aveugle guide un aveugle, ils tombent ensemble dans une fosse."
Matyah (Mathieu) 15:15
Parole de Yahshoua Ben Elohim. Arrêtons nous plus qu'un instant et considérons des vérités spirituelles, matérielles et physiques intrinsèquement liées.
La Parole considère l'homme comme un arbre, symbole référencé de nombreuses fois dès lors que le Salut de l'Adam est en jeu. Nul ne peut vivre sans sa racine initiale, soufflée aux jours premiers dans un Eden exempt de péché.
Pour saisir la portée de cette Vérité en Matyah , il faut au préalable avoir la connaissance de la Torah, et notamment Béréchit (genèse). Le premier Adam, sorti des mains mêmes d'Elohim, a été planté dans un décor bien loin d'Hollywood , bien mieux encore, dans un décor céleste, aux senteurs et lumières qu'aucun réalisateur cinéphile ne saurait égaler.
Adam, arbre enraciné dans l'Echad, Yadchad, de son Père créateur de toutes choses, apparaît comme un Arbre vivant, arrosé chaque jour par la rosée du matin, l'amour d'Adonaï.
Etrangement le mot biblique Hébreu est identique à celui que l'on retrouve dans Proverbes 16:30 concernant l'homme pervers dans ses pensées , dont la signification n'est autre que Fermer !
L'Arbre Fermé à la vie n'est autre qu'un figuier asséché, un arbre sans fruit, un Adam mortel, mort à la Vie, mort à la Vérité, mort au Chemin. Le péché réside en lui, il est à l'image de l'Adam chassé de l'Eden, vivant aux milieux des ronces et des épines, trimant pour un peu de joie sur sa table, emporté par les angoisses et les soucis de ce monde. Le mal ronge si intensément que le malade s'en accommode au point de ne pas, plus, voir la source , refusant le diagnostic, chassant la Vérité pour s'en inventer une plus aisée, plus commode, un leurre qui l'enferre loin de la Vérité qui affranchit.
L'Arbre vivant , humanisé par la seule volonté d'Adonaï comporte deux faces celles du choix de vie par l'Eau qui vivifie et celui de la mort par les pensées perverses; un choix qui ne quittera jamais plus l'humanité jusqu'à son dernier Souffle, le dernier grand jour.
Vos pensées ne sont pas mes pensées dit Elohim ...Esaie 55:8
Ainsi l'homme, quel qu'il soit, se retrouve devant un choix inéluctable: celui d'être une plante, venant d'Elohim , c'est à dire semée en terre, un grain qui a choisi de mourir entièrement à lui-même, ou alors une plante enracinée dans sa propre volonté de faire de sa vie ce que bon lui semble, selon ses propres pensées, celles qui ne sont pas d'Elohim.
Parmi la masse colossale de toutes celles et ceux qui se proclament du Très-haut, peu sont des plantes que le Père des ciels a plantées. Il est primordial de comprendre ici la leçon de Yahshoua . Il interpelle sur deux éléments cruciaux :
1° Etre planté...nous pouvons penser (sic) en toute légitimité humaine, être planté dans l'œuvre , dans l'adhérence du Très-Haut, le Chef des Armées. Encore faut-il s'assurer que c'est bien LUI qui nous a plantés. Si ce n'est pas le cas, qui alors aurait bien pu nous tromper avec notre accord (sic bis) ?
L'aveugle volontaire a cette fatuité visuelle de choisir ce qu'il ne veut en aucun cas voir...Il perçoit mieux qu'un pilote de ligne les lignes directives contraires à ses pensées; il sait parfaitement les éviter. Mieux, il trouve rapidement des adeptes cherchant le docteur aux ordonnances agréables à leurs oreilles, cachant, plus que calmant, la gangrène du péché.
Il appartient au Père de déraciner, cela viendra au jour du Jugement qui commencera pas la Maison du Peuple d'Adonaï. Il convient donc de ne pas aller trop vite en besogne, dans une quelconque condamnation des goyim, voire des "incultes ignorants" en oubliant que les éclairés, ceux qui voient , ceux qui savent , passeront en premier devant le Grand Juge. La hache est déjà à la cognée nous dit la Parole...Le déracinement a déjà commencé.
2° Le deuxième point crucial de cet édicte de Yahshoua devrait nous laisser quelque peu songeur , pour ne pas dire nous pousser à l'introspection profonde menant au vrai repentir. En effet, après le déracinement Ben Elohim ordonne de Laisser ceux qui se disent guides (et non conducteurs dans les moult fausses traductions gréco-romaines). Guides aveugles, sages à leurs propres yeux, plantes issues d'un autre Maître.
Invariablement "sortez du milieu d'elle" résonne sans cesse, un appel à la sauvegarde de nos vies, un gain de temps pour racheter celui qui est mauvais, une mise en garde de vouloir faire à la place du Souffle, le Ruah seul révélateur et précepteur de nos âmes.
A vouloir s'essayer vindicatif là où seul l'éloignement doit être de mise, l'on risque assurément un épuisement spirituel, physique si ce n'est un engloutissement avec tous ceux qui vont tomber ensemble dans leur propre fosse.
Laissez-les ! est le mot d'ordre du Maître ! la Parole ne se porte qu'à ceux qui sont listés dans Esaïe 58 et rien qu'à eux. Le vouloir autrement fait de nous des plantes semées par un autre Maître, et nous amène indubitablement au déracinement final.
Matyah (Mathieu) 15:15
Parole de Yahshoua Ben Elohim. Arrêtons nous plus qu'un instant et considérons des vérités spirituelles, matérielles et physiques intrinsèquement liées.
La Parole considère l'homme comme un arbre, symbole référencé de nombreuses fois dès lors que le Salut de l'Adam est en jeu. Nul ne peut vivre sans sa racine initiale, soufflée aux jours premiers dans un Eden exempt de péché.
Pour saisir la portée de cette Vérité en Matyah , il faut au préalable avoir la connaissance de la Torah, et notamment Béréchit (genèse). Le premier Adam, sorti des mains mêmes d'Elohim, a été planté dans un décor bien loin d'Hollywood , bien mieux encore, dans un décor céleste, aux senteurs et lumières qu'aucun réalisateur cinéphile ne saurait égaler.
Adam, arbre enraciné dans l'Echad, Yadchad, de son Père créateur de toutes choses, apparaît comme un Arbre vivant, arrosé chaque jour par la rosée du matin, l'amour d'Adonaï.
Etrangement le mot biblique Hébreu est identique à celui que l'on retrouve dans Proverbes 16:30 concernant l'homme pervers dans ses pensées , dont la signification n'est autre que Fermer !
L'Arbre Fermé à la vie n'est autre qu'un figuier asséché, un arbre sans fruit, un Adam mortel, mort à la Vie, mort à la Vérité, mort au Chemin. Le péché réside en lui, il est à l'image de l'Adam chassé de l'Eden, vivant aux milieux des ronces et des épines, trimant pour un peu de joie sur sa table, emporté par les angoisses et les soucis de ce monde. Le mal ronge si intensément que le malade s'en accommode au point de ne pas, plus, voir la source , refusant le diagnostic, chassant la Vérité pour s'en inventer une plus aisée, plus commode, un leurre qui l'enferre loin de la Vérité qui affranchit.
L'Arbre vivant , humanisé par la seule volonté d'Adonaï comporte deux faces celles du choix de vie par l'Eau qui vivifie et celui de la mort par les pensées perverses; un choix qui ne quittera jamais plus l'humanité jusqu'à son dernier Souffle, le dernier grand jour.
Vos pensées ne sont pas mes pensées dit Elohim ...Esaie 55:8
Ainsi l'homme, quel qu'il soit, se retrouve devant un choix inéluctable: celui d'être une plante, venant d'Elohim , c'est à dire semée en terre, un grain qui a choisi de mourir entièrement à lui-même, ou alors une plante enracinée dans sa propre volonté de faire de sa vie ce que bon lui semble, selon ses propres pensées, celles qui ne sont pas d'Elohim.
Parmi la masse colossale de toutes celles et ceux qui se proclament du Très-haut, peu sont des plantes que le Père des ciels a plantées. Il est primordial de comprendre ici la leçon de Yahshoua . Il interpelle sur deux éléments cruciaux :
1° Etre planté...nous pouvons penser (sic) en toute légitimité humaine, être planté dans l'œuvre , dans l'adhérence du Très-Haut, le Chef des Armées. Encore faut-il s'assurer que c'est bien LUI qui nous a plantés. Si ce n'est pas le cas, qui alors aurait bien pu nous tromper avec notre accord (sic bis) ?
L'aveugle volontaire a cette fatuité visuelle de choisir ce qu'il ne veut en aucun cas voir...Il perçoit mieux qu'un pilote de ligne les lignes directives contraires à ses pensées; il sait parfaitement les éviter. Mieux, il trouve rapidement des adeptes cherchant le docteur aux ordonnances agréables à leurs oreilles, cachant, plus que calmant, la gangrène du péché.
Il appartient au Père de déraciner, cela viendra au jour du Jugement qui commencera pas la Maison du Peuple d'Adonaï. Il convient donc de ne pas aller trop vite en besogne, dans une quelconque condamnation des goyim, voire des "incultes ignorants" en oubliant que les éclairés, ceux qui voient , ceux qui savent , passeront en premier devant le Grand Juge. La hache est déjà à la cognée nous dit la Parole...Le déracinement a déjà commencé.
2° Le deuxième point crucial de cet édicte de Yahshoua devrait nous laisser quelque peu songeur , pour ne pas dire nous pousser à l'introspection profonde menant au vrai repentir. En effet, après le déracinement Ben Elohim ordonne de Laisser ceux qui se disent guides (et non conducteurs dans les moult fausses traductions gréco-romaines). Guides aveugles, sages à leurs propres yeux, plantes issues d'un autre Maître.
Invariablement "sortez du milieu d'elle" résonne sans cesse, un appel à la sauvegarde de nos vies, un gain de temps pour racheter celui qui est mauvais, une mise en garde de vouloir faire à la place du Souffle, le Ruah seul révélateur et précepteur de nos âmes.
A vouloir s'essayer vindicatif là où seul l'éloignement doit être de mise, l'on risque assurément un épuisement spirituel, physique si ce n'est un engloutissement avec tous ceux qui vont tomber ensemble dans leur propre fosse.
Laissez-les ! est le mot d'ordre du Maître ! la Parole ne se porte qu'à ceux qui sont listés dans Esaïe 58 et rien qu'à eux. Le vouloir autrement fait de nous des plantes semées par un autre Maître, et nous amène indubitablement au déracinement final.
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